Numéro 12 (1980))

Gérard DE CORTANZE

par Gérard De Cortanze

(…) Territorios palùdicos de parálisis infantil puisque l’organum ne rêve pas mais chie sa mort. D’abord il y avait le silence. Le silence des doigts et de la langue (ser animadizo que se cuelga) puis comme son trou d’intestins et d’œil. La distance. Oui. la distance du d’abord le silence au silences des doigts et de la langue. Un déclencheur. Le déclenchement ou plutôt sa nécessité organisée de parole et d’eau, de silence de parole et d’eau cherchant l’instant de la maladie. Bien sûr l’anus, cette organe de circulation et théâtral d’attente de son non-silence : la otra figura de armadura, – Anubis penetrando en la capucha del caballo. Mais sa fonction particulière ne déterminait en rien sa faculté de réception et de pouvoir : manger le corps organique de l’autre, ne pas se taire, ne pas oublier. Ceci quand tout était blanc sous sa culotte baissée. Bien sûr la langue lubrifiant l’attente théâtrale de l’anus ou de son silence ou de la circulation dans l’attente de la maladie du silence de son attente cherchant le trou, la distance, l’œil. Le silence des doigts de une orija, de la carne de la hernie, enfrente el fuego del cinturón. Comment couvrir, en arriver à ne pas oublier, à taire, à faire taire la nécessité de la pression, du retournement ou de la chaleur ou de la circulation théâtrale dans le corps organisé du cheval, du feu, du cinturon et de son autre figure. Quelque chose entre l’histoire et la philosophie de la bague : autour, le crachat des mots, mot à mot à bout de nerfs ; derrière, sa danse, sa propre danse – dénivellation sous la glaire des nerfs philosophie du mot, des nerfs ou de la danse ; dedans, l’autre figure de l’organe dans le silence à bout de langue quand la maladie de l’anus organise sa mort, son théâtre, la nécessité de sa pression ou de son savoir. Aucun trou pour ne pas dire les figures, mais aucune organe installant la parole sur l’eau. La distance, c’est son savoir, la mort, sa demande ; le théâtre, la circulation théâtrale de la glaire : Y la sangre en la ropas dándole vueltas a la carne de sus aguas (…).