Jean-Marie Le Sidaner


Jean-Marie LE SIDANER

1) Je rêve d’écrire avec des organes qui n’existent pas, un peu comme le pourrait imaginer un Lamarckein au très scrupuleux délire : avec donc une tête-à-peur, un œil-à-croire, une oreille-à-rire, un bras-de-mort… 2) Ce que je ne parviens pas à saisir c’est par où je tombe de l’écrit. Qu’est-ce qui brusquement dans le texte m’exclut, me force à jouer perdant ma lecture (quant au « commentaire » dont le rôle est, comme le note Foucault de « dire enfin ce qui était articulé silencieusement là-bas. » - (…)