Gérard Arseguel


Gérard ARSEGUEL

Du peu que je perçois encore d’un acte, plutôt que d’une activité, dont la monstruosité caricaturale me fait vomir – les mains agrippées à la table, le corps vanné par les secousses – (maintenant, je n’en doute pas, que mon jour de glaire est arrivé) puisque c’est les yeux fermés ou plus exactement scotchés par un ruban de sparadrap dont les trous minuscules simulent les bouches aérées des chaussures adidas que je cède à ses maléfices ; in extremis comme toujours, le fond du cul rongé longtemps par le (…)