Jean-François SAVANG
Go-Between
Le voyage dans les catacombes -version II- 
La première publication de Go Between, aux éditions K' De M, fut un événement éditorial, non du point de vue d'un quelconque retentissement public, bien entendu, mais de celui de sa mise en forme : Jean-François SAVANG a vu son texte illustré "en couche", par L.L. De MARS, selon un procédé assez étonnant: les planches imprimées en sépia -sous le texte noir- proposaient une lecture commentée et simultanée au texte, ouvrant une voie supplémentaire aux catacombes... Il n'est évidemment pas possible de montrer ici ce travail, les planches ayant été composées selon un procédé propre à l'Amiga, et, hélas, intransportable (trois exemples, cependant, sont présentés ici à titre illustratif: hélas, on ne peut goûter la lecture superposée) .
Mais Le Terrier présentera certainement bientôt, au format PDF, par exemple, une nouvelle moûture de ce travail
Ce texte fut aussi publié, dans cette version définitive, dans le N°13 de La Parole Vaine.


 Quelque chose -COMMA, co-mAm, dans la fin est éternel. Quelque chose entre
le silence et la voix, suspendu, accroché dans l'intermittence de ce côté là de la m
ort, quelque chose se confond comme A lorsqu'il rompt le silence et livre sa matri
ce, lorsque le ciel évident n'est plus qu'un oeil silencieux dans le fil, tel un courant d
'(Am)e fixant la lumière par intermittence. Coma fo faut, il faut profonde, le fo foré
du forage profond, ce qui transperce à niveau (à travail) à travers une épaisseur ch
romatique, trauma chromé pour soi dans son chacun traumaphor e, métachrome à
niveau for pour son chez soi dans le coma descendre dans l'(Am), le famor qui gît
foram alors. Dans l'ascension l'origine déploie ses ailes sur la mémoire. (la comateu
se) Position: le non-lieu et l'achronie y débordent. Si je circule avec mAm, l'oeuvre
est au bord de ce qui commence à être, et finit en même tant d'être oubliée. (mAm
est dans le lecture) la jon ction-vitesse, la vision de l'amphore plié au temps dans le
métachrome de l'image. L'état marge plié au temps scène sur scène dans le silence
des envois d'angle et de lang'à ma. Un incunable Dieu de lecture déborde d'un uniq
ue objet: la quête de son apparence, le contour (com++) d'un cadre dont la mesure
est peut-être indépassable. (dimension) L'intercession du cadrage et de son déplac
ement (dépl++) commande à le oeuvre, la longévité substantielle d'un au-delà-ça: c
'est le projet, la forme là, incontournable du dépassement et de la construction d'un
cadre plus large (Autre par intermittence) d'un stuc double cadrage, mais qui stuc p
erd de sa rectitude, au profit stuc, d'une falscification informelle stuc. Ce qui s'estom
pe à l'infini (la forme là), encore et encore jusqu'à se perdre. Vêtu j'investis le brouil
lage dans mAm. Le no/éme, ce qui s'éteint sous la peau, lorsque les souterrains trop
profonds ne démêlent plus leurs sens (le quantificateur): Les catacombes Vaticanes
ont aussi donné un de ces horribles instruments de supplices appelé FIDICULA, ave
... mathématiques (Am) écorchent en plan, (Am) -une alter inconnue, au croisement
et des multiples d'autres, et des plurielles... les textes pliés, l'érosion des bords... le g
entre de la forve dérive au bord... Au livre une existence autonome, semblable, sans
mal, suivant l'axe des jours dans la répétition du quotidien, sans mAm à la descente
des épaisseurs. (je n'accorde rien, il s'accorde sa corde.) Le brouillage d'avec ma na
issance est ma no-essence; comme une poignée de terre dans la main, sortie du cadr
e. Le réinvestissement fébrile du brouillonnage. Du brouillonnement. L'appétit singulie
r de papier, de papiers qui se répète nt, griffonnés de lignes, de lignes mortes; de coq
uines lignes mortes, cocaïnes, rompues à l'ataraxie d'un certain contrôle du désir (mes
pro mes poses la posit+, aux propres sentiments (mes propositions) dans leur comme
rce, l'immersion (--tation) -présent), faire jouir encore au énième jet (une fille), de la c
éruse dont l'extension est Un. (l'appropriation, ce qui suit dans le texte, celui qui échap
pe, cette remontée du passé d'un autre texte comme un miroir brisé reforme l'alliage)


Voici la liste de cette oxygénation, exercices de ratages, empilements fétichistes, bibel
otages, clinquances, précautions d'hygiène, débordements dans les constructions, clini
ques et abs traites, et coït. L'excriture devient cela, devient de la matière (quantité) rot
ative, expulsée du , de son, le noyau orienté vers le, l'immanence du sujet. Effets de N
-1 brouillons. Effets de brouillons N+1. Ils effacent la trace des filiations de mes lectur
es, filiations, car mes lectures s'y sont doublées filant dans la répétition générale. Tente
r de s'extraire de la nécropole...Reprendre pieds dans l'histoire, réveiller les coupures
en ce qu'elles ont d'étrangères, réveiller dans les bords les contacts difficiles, les chose
s d'avec les choses qui se séparent dans les mots et rythment les vibrations de mAm, l
e phon'à type down, step le souff le du coeuvrage tipatapapoum toc, tipatapapoum es
toc, tipatapapoum toc, tipatapapoum estoc ... (Am) lancé dans le nom se figure une pe
rson'à, le modèlement d'être où le monde et l'immonde n'ont pas encore de séparation,
où le temps inonde le corps de sa patience.C'est pour la (voya) survie, un jeu de chass
e d'eau (de la digestion) le fonctionnement mamifère du caca dans l'oeil du maelström,
où mille brouillons ne font pas un livre même sale. c lequel on labourait les côtes et les
membres des martyrs. Pour en avoir une idée il faut se représenter de longues tenailles
dont les branches sont garnies de plusieurs ongles ou crochets, qui s'engrenant les uns
dans les autres, coupaient la chair en petit morceaux et devaient causer d'incalculables
douleurs. Les feuillets écrits sont des formes induites par la continuité de l'histoire, lorsq
ue déniant la transparence (apparence), ils tissent le cadran de l'obj'à, de la voyance qu
'ils veillent jalousement sur le temps. Ils ne convoitent pas autre chose qu e de sortir de
l'objet, que d'ouvrir le cours de leur temps à l'informel, le form'acti, l'ensabl--ation de la
lecture. Ce point est dans l'anesthésie, le cri de jouissance de toutes les voix qui délesté
es de la gravitation, s'engouffrent vers l'univers , et se retrouvent dans un unique endroit.
Les voix ont perdu la possession indivise qui leur est propre, l'émotion d'être un ensem
ble d'énoncés et cependant, elles conservent un caractère initial, cette sorte de gutturali
té de l'esprit. Et là, elles échangent entre elles de libres affinités d'amour. (Assigner à l'e
sprit sa voix organique, une étreinte intime -plus intime qu'aucune étreinte extérieure- au
point de consomption. De même que ce sont les paroles d'une vie qui constituent l'atmo
sphère de notre corps.) Tout semble se déplacer, relativement, de l'informe à la forme,
ressemblant, (rassemblant sa structure), tentant en retour une isomorphie comme une af
firmation du travail -et ces formes travaillent la chair légèrement tremblante autour du so
uffle; le grattage de l'encre enchassée dans le papier, sur le corps selon des mouvement
s de lames, passant d'un texte à l'autre, comme les choses ne se regardent pas entr'elles.
Ce syndrome du brouillon sans fond est un refus de l'arrêt; un refus de rompre dans l'hi
stoire. Il diffère la forme dans un devenir obsessionnel (simule la continuité qui l'extrait d
e son anonymat); cependant le maigre poids d'une bille suffit à bouleverser le mécanisme
des apparitions, et bouleverse même l'équilibre du labyrinthe; une information suffit à cré
er la perturbation, à rendre caduque la carte établie pour le dernier feuillet, parce qu'il s'
ouvre sur un plateau inexploré. Ainsi les billes tombent, et changent en aval de couleur d
ans une figure complexe. Que pour chaque bille tombée la catégorie précédente n'existe
plus; voire disparaît dans l'hypostase... lieu de tous les textes dans un seul commandant
les fragments, échos les uns des autres pour reprendre une seule voix. Chacune des bille
s correspond d'un numéro répertorié à un document, dans les grandes salles rayonnées
de murs de livres visibles, à pages de toutes sortes de touchés, des caractères révélants,
aussi nombreux que tous les signes de pensée, insur gent à de nouveau plan l'imprimerie,
d'affilé, défilé sonore en fractures mnémoniques, les billes, classées aux archives centrale
s, interdites, pointées dans les micro-fiches, lestées de leur original, monument-centre bo
ulimique où, hommes et hé téron-hommes se pressent expansionnistes, entre les bureaux,


les travées et les machines, de bruitsd'accidents de frottement, toujours signe d'activité,
de frôle-travail, acheminent leurs informations -dépose du ciel qui enregistre la consompt
ion des preuves par un négatif de l'exemplaire- que la vocation de l'écrit, à priori de la ra
ture des objets, dans la première apparence qui renferme leur dérobée, tout se déroule d
ans cette figure complexe d'un gouvernement de l'idée -et cet endroit est loin d'être celui
qu'on s'imagine (il n'en a pas le temps) il tient à très peu de chose dans la matière humaine
. Ainsi ouvrir une oeuvre, aussi petite soit elle, au regard de la montagne de brouillons don
t elle s'extrait, s'intercale et descend dans le puits d'une autre oeuvre, dont le fond est dan
s l'obscurité de sa nappe phréatique. Autour des compartiments qui divisent la voûte des c
ryptes ou chambres sépulcrales, règnent des guirlandes de fleurs, des arabesques, des scè
nes de ouvrir une oeuvre; aussi petite soit-elle, au regard de la montagne de brouillons don
t elle s'extrait, s'intercale et descend dans le puits d'une autre oeuvre, dont le f ond est da
ns l'obscurité de sa nappe phréatique. mAm descend souvent avec moi, dans mAm et da
ns moi mAm, mAm regardons la pierre suinter, touchons dans la fraîcheur du gouffre, tou
chons l'humidité, l'humidité de la vivante midité (respirons): la décomposition des corps d
ans l'atmosphère chargée d'eau, des corps qui perdent leurs eaux que nous respirons. L'o
pération, la machine repue de synthèse, que le oeuvre engouffre dans la main, (mAm), ret
irant, répétant le geste à chaque fois, des objets de la boite où ils sont invisibles, et qui ap
paraissent de la chair, une oeuvre (--versement) dans une oeuvre, des milliers de fois dan
s des milliers d'oeuvres. Elles sont des signes à tendance circulaire, des matrices entitéïqu
e de l'épuisement, ah oui, quand nous descendons dans le puits toi et moi! (l'exp++) Elle
relie entr'eux des réseaux souterrains de rivière, drainant de la terre, drainant des lits de t
erre dans sa coulée, elle déforme leur coma l'immunication, de leur boue millénaire. Elle e
xpectore in fabula disposition des générations dont elle est la demeure; ses innombrables
galeries étagées les unes au-dessus des autres jusqu'au nombre de quatre et même cinq,
tantôt basses et étroites, tantôt hautes et larges, tantôt courant en ligne droite, tantôt se c
ourbant sur elles-mêmes, fuyant dans tous les sens, se coupant se mêlant, comme les allé
es d'un immense labyrinthe; ces galeries, ces places,ces chapelles éclairées extérieureme
nt, de distance en distance, par des ouvertures pratiquées à la surface du sol, et illuminée
s intérieurement par des millions de lampes de terre cuite et de bronze, affectant la forme
d'une nacelle; partout à droite et à gauche, du sol jusqu'à la naissance des voûtes, des to
mbeaux, taillés horizontalement dans les parois des galeries alors qu'en sa présence, la ré
pétition des forages désertifie le sol à ses racines; au contact de l'air mAm se révèle dans
les fossiles; leur forme reviennent de là-bas, de l'histoire lointaine dont la mémoire est l'ar
chéologie de mAm. De multiples affluents, un réseau de détails, un réseau d'une raison d
ont mAm traverse les membres, quand de ses extrémités, l'ailleurs tire à lui un aveugleme
nt (mAm dont les yeux secs réfléchissent hier, et que la réponse est un déplacement qui a
reconstruit (reconduit) ailleurs sa vision, c'est à dire que mAm voit et ne voit pas en mêm
e temps) déplace plusieurs temps qui se nourissent de terre, appelant le bulbe du système
(de ce qui n'est déjà plus), des affluents-rhizomes. Ainsi ce qui n'est pas encore oeuvre s
e déplace traquant l'ouverture vers l'océan, suscitant au climat le cycle, en ce qu'il clôt un
débit; le temps est la rencontre entre la forme de son cours et la rétention de ses eaux, im
possible dans sa tota lité -informé- dans le mélange de l'océan dont il tire à nouveau sa co
ntradiction. nous connaissons l'emplacement de la ville souterraine et les noms géographi
ques de ses différents quartiers ou régions. Quant au nom L'(int++) la peau myth', soü, s
oü, tant à la chaleur (un carte) contrAdit la mA,l'diction comateuse. L'interpolation (Nex
us thorique dans la mythologie relève de cette contrAdit, la mA, l'diction comateuse, d'u
ne part formatant (la forme là) le penser, puis reprenant l'insuffisance de son souvenir da
ns la falsification d'autre part. La main qui fouille dans mAm écorche la peinture de sa to
ile, écran de délicats tissus, de fines peaux tendues qui deviennent un corps réel dans la
main; mAm se heurte à la -production- qu'elle est dans son existence: elle aussi fouille


(aveuglément) par la main qui la viole. Elle se referme, chevauchant une ligne imaginaire
qui, elle le sait, ne la porte pas, mais qui la transperce, elle est traversée par le temps, e
t le temps lui cristallise un corps dont la naissance est évacuée. L'autre part de mAm es
t dans le creux de la main qui la façonne. Elle parl'à et répète à l'infini ce tremblement, c
e qui lui semble une éternité. Elle a l'image d'une absorption par le temps, d'un écartèle
ment par, et de celui-ci, qui lui tend à im aginer que rien n'existât avant qu'on ne parle.
Mais qui est dans la voix qui parl'à comme un retour de soi dans la faille? Ce couloir de
soi où s'effondrent les mots qui rythment la chute du temps jusqu'à son point imaginaire
? Là où finissent les mots, lorsque la faille devient un étranglement si ténu que naissent l
es images? Le bord de soi... toeng trac à borui lin deguestre étha padébal é (la forme l
à) de cette façon clôt son univers. Un texte inaugural (ou le) volée de mots (inversé co
mme un symptôme qu'il dût figurer), apparait comme un point dans le temps, puis disp
araît telle l'archéologie foudroyante d'un seul texte, en vient à la pelure de la langue, la
plurili, l'ingu istati dict'à (ling), le ce, la textation évasée dans le désert de ce qui s'ouvr
e, l'entrée dans le COMMA------------- comme un repliement sur soi-même mAm d
isparaît dans le commentaire et la concaténation des textes entr'eux. (enfouie dans la
multiplication et la surenchère des discours qui viennent s'amonceler aux bords de la
mémoire) En présence... ne pas perdre un instant... s'extraire de l'habitacle, perdre le
corps encore à peine vivant d'une cité-centre qui se déverse vers l'intérieur. Puis rom
pre l'équilibre des fondations qui la maintiennent comme un souvenir dans les remo u
s de la voix, celle traçant la photogravure de ce que nous semblons être dans l'Autre,
(la transplantation d'un organe sculpté dans le langage), la fiction qui nous occupe pa
r ce qui suit les lignes corporelles, le tendre dessin de leur tension, les circonvolutions
qui s'estompent dans la miniature organique, et puis qui disparaissent. nom est exprim
é; mais comme dans la dernière inscription citée plus haut, il ne se trouve pas au cas v
oulu: preuve évidente que l'inscription attend une maison qui l'achève. où le citer se p
lace alors que mAm extrait de sa mémoire les inscriptions du temps, (le passage des
choses dans sa langue) alors qu'elle pense au moment où elle viendra à la continuité,
à ce côté des choses qui l'emporte dans le temps et qui lui insufflent la vie. Il n'y a p
as d'équivalence. Citer fait la liaison concrète entre les matériaux. Entre le monde et
son visage, entre les choses et l'immonde, la parole accompagne la perte des chose
s, hors des possibilités isomorphiques qui les font apparaître, hors de tout ce qui co
mpose mAm (se déplace), non véritablement sans précédent, mais une chose -sans
que chaque fois soient reconstruits (à reconstruire) les outils de sa chirurgie. (les ch
oses sont disposées dans l'esprit de façon impure) Les billes tombent. Ce n'est pas
leur poids qui rompt la course des évènements car leur poids est insoluble. Elles s'
agglomèrent au présent et forment la course des nombres, un immense rassembl e
ment comme une bibliothèque universelle. Elles délivrent du temps. Car il n'y a da
ns ce qui finit déjà que des ruines; et la massivité du monde s'éteint quand elle pre
nd forme dans l'esprit, lorsqu'elle engage tout son savoir (le ce sur quoi) à s'effond
rer dans ce qui deviendra son nom. (vers) finalement informel pressé à l'enfournem
ent de l'esprit, il s'incite lui même, autoréférentiel, depuis la division, dès les premie
rs livres, aux connexions, cédant outre le privilège du hasard de leurs rencontres, à
l'accoissement du vide en soi, en nous éloignant de toutes façons de la crypte qui n
ous regarde. Par le choix nous mettons dans des sépultures symboliques les réside
nces innommables qui nous contrarient. Ainsi la nécropole se soudant à la voie po
litique de ce qui apparaît, creuse les galeries communes qui dessinent les fondatio
ns. Tracées dans le s able instable où le vent balaie chaque geste à recommencer,
elles témoignent de l'habileté naturelle de l'histoire à réprimer la courbure du temp
s qui la porte. Ces fondations sont habitées. Ou plutôt c'est ce qui dans mAm qui
fore, d'un souffle vivant. Comme le temps et l'air font des ruines, les souterrains se
creusent en esquivant l'oppression de ce qui apparaît, le choix, la détermination, (
les globes oculaires, l'enceinte refermant le monde -inciter-); dans l'espace de ce
qui apparaît, s'éteint... Ce sont des espaces vides qui se détruisent, et qui s'offrent
plus vides pendant que dans mAm est choisi, le vide est rempli de ce choix, de se
s effets (apparitions), tout comme l'histoire compte ses morts et les entrepose dan
s l'imagination. Rien n'est jamais pareil. Et sans doute qu'avec mAm nous savons p
erdre la vie à l'intérieur. Le temps est à contrecarrer (mAm), voyager p18 puis rev
enir pour déformer la vision, retracer suivant une procession morbide, un voyage c
lôs. Les lieux de la mémoire sont innombrables, ses directions aussi; et la chute de
chaque homme à son début est sont renversement sur ailleurs. Sur lui-même. Con
voyant dans le simulâcre (il n'y a rien de plus infini que l'espace, et de plus limité q
ue le temps; il est vraisemblable que l'espace considéré, dans l'immobilité de sa dé
mesure soit aussi virtuel que le temps quand on y pense; et que la seule mesure, et
de l'un et de l'autre, ne soit que la délimitation mutuelle, l'élasticité sous la-forme-là
de leur rencontre, quand tous deux (destinent), tracent le segment de leur correspo
ndances (parcours) dans la vitesse. Parce que chaque chose n'est jamais définie qu
'en soi, parce que tous deux ne représentent que la valeur d'un param dont le for c
ontradict'à l'être, par amour de l'entre dans la text selon l'ature de l'obj'à) les traces
liées ensembles au seuil de l'obj'à, le signifond de mAm et le temps et l'espace avec
le spactem, le tentatemps lecteur qu'ils forment dans l'orphage (tournant chacun da
ns leur sens la double hélice text'à-là, for çant l'effiction à la source de mAm). Pour
que les traces soient touchables comme l'encre, visibles comme l'encre, lisibles co
mme l'encre, enlisées dans la page des chiffres (de l'aléatoire du déchiffrage) de l'i
nterprétation d'un désir d'union -mais constant- (de reproduire chaque phrase com
me une phrase est une phrase, jusqu'à-ce que sa mort, impossible, ne soit plus rien
qu'une fatigue indélébile. Ainsi frôler l'arrêt, recouvrir de mémoire l'idée aussi étroi
te que le déroulement d'un fil (peu importe d'ailleurs, la proximité qui pourrait lui m
odifier la taille, peu importe ses déformations et ses épaisseurs qui n'ont jamais att
eint qu'une ambition négligeable) dans position de sujet, alternativement mosaïque
s (...), dans le choix et le rapprochement desquels règnent certainement une inten
tion symbolique, est assez générale dans les Catacombes, pour y reconnaître une
vue systématique, une (...) pensée qui avait dû présider au principe de cette décor
ation. La même pensée se révèle dans la composition des sarcophages, dont les
sépultures Ouvrir une oeuvre, aussi petite soit-elle, au regar d de la montagne de
brouillons dont elle s'extrait, s'intercale et descend dans le puits d'une autre oeuv
re, dont le fond est dans l'obscurité de sa nappe phréatique. Elle dessine les cata
combes, des chemins par lesquels elle a connu cent fois l'égarement; elle représe
nte au mieux la distribution d'un point dans un cercle, en ce que ses issues sont m
ultiples et ses itinéraires décrits -potentiellement circonscrits- fermés par des tom
beaux. Ces catacombes sont des légions du silence, et des impasses aux visiteur
s inopportuns. Cependant mAm échappe à toutes les géomètries; le corps dans
lequel elle est investie est un signe voué à toutes les prédications, et qui la garden
t dans le secret. Car mAm est aussi narrataire, aussi l'occurence d'un seul signe
dans la radicalité de son miroir, aussi ramifiée dans des milliers d'occurences do
nt elle prolonge le signe. Elle est l'égométrie. Elle est aussi l'occurence dissymét
rique par laquelle le monde est un signe; mais elle n'a pas déjà résolu l'énoncé d
e sa présence, que les mots lui manquent encore de temps, car le temps, quand
elle parle, remplit les signes du miroir de mAm, vide autour les objets qu'elle ne
concerne pas de sa présence; leur temps ne coïncide pas avec la parole, et ils r
ejoignent alors une existence purement géométrique. Décalage d'ascension où j
e mAm est l'égosphère de la table des sens. C'est dans ce moment qu'est la vac
uité de ses objets -c'est à dire qu'ils se vident de leur proximité- qu'elle les poss
ède pleinement en ce sens qu'ils construisent malgré leur silence des référents o
ù la parole s'amenuit; ils ont dans mAm la plénitude -l'identité mêlée à la dérout
e du temps occupé aux choses- et ce qui les fait vivre est leur anticipation dans
mAm. Obj'à, somma (meil) de l'origine, de c'te l'être en mAm, clignotant à just'
égal, comm(à) coupant les marges d'un avenir dont la possibilité s'use dans mA
m le coeuvre de la coïtase. (première détermination) -non mort- résoud de l'ori
gine dans le passé, dans la poussière, déjà trop tard lui dirait-on, mal encore co
nditionné de l'avenir, l'instable passé de demain. Le futur est incertain parce qu
e le passé guette dans la glotte de son continuum. Et sa correspondance avec l
'espace est que les objets du réel brut existent comme une possibilité mythique
de son passage... lorsque sa possibilité se perd et ne retrouve rien; qu'elle trac
e une ligne entre les mondes, et que de l'intermittence naissent les objets. Et qu
e par leur présence soit abolie l'absence des mondes (le clignotement de ce qu
'ils savent rompt la picnolepsie d'entre les choses). Le passé est incertain parc
e que le futur guette dans le continuum de sa glotte. (les obj'à parl'à mAm de l
eur inquiétude) Ces objets existent aux confins de l'espace et du temps, et c'e
st la séparation soudaine de ces deux plans, lors de l'évènement de l'objet à la
rencontre du monde, qui réifie l'espace et lui donne foi. Cependant qu'il est en
un intant absorbé par les tissus de la mémoire. Ainsi la fusion du temps et de l
'espace confère t-elle à ce qui nous apparaît comme être le futur, la sensation
d'une continuité entre l'intérieur et l'extérieur des choses, entre ce qui porte le
regard et ce qui le contient... Lorsqu'en déblayant les galeries ils découvrent
un LOCULUS, qu'ils présument être un tombeau de martyr, ils en donnent a
vis au député particulier des Catacombes. Cet écclesiastique se rend aussitôt
sur les lieux; examine soigneusement la tombe, s'assure qu'elle est parf... la c
ontinuité d'un réel immédiat, d'un immonde. Cette désintégration excessive d
u monde (ce-devant, que la productale immergée, préentre dans la composin
e du larvage, enmostre la surlime de l'aspèce. Le ce qui est potenti du ciel à
venir, le préservise des habitants hors de la tempura, s'orgne de quelque chos
e à arriver) dans un immonde, rupt'à par l'avec de l'abstraite continuité d'être
potentiel, le hors-là (vers le hors-là là là là à l'infini). Et ainsi les objets mis en
présence, (synchronique), dans les liens qu'ils tissent, étant soudainement con
tenu dans le temps de mAm, (le même temps qu'un être à s'apercevoir qu'il e
st au monde) suffisent à rendre possible une représentation du monde (le peu
de son dessillage). Ces quelques obj'à qui conservent malgré tout leur mémoi
re (l'identité d'être comme une surface absolue dans le territoire étranger de m
Am), donnent essence dans leur rapprochement, à une parthénogénèse des sy
mboles du monde. Ainsi même l'origine pourrait se situer dans sa rectitude, ga
gnant dans l'obstruction, le de futura del'orgosmie tirée vers l'arrière (la pertur
bation temporelle d'être-là)... tant elle est en souffrance hors du récit, ou puis
que dans le passé nous l'avons perdu. (diablerie chronique, diacrochets d'est
en ouest cumulés depuis la nuit des temps pour tomber dans la mer) Et cette
incursion, la perte urben du continu cillant dans son passage l'avenir (ce qui f
ait levier dans le passé), le retadement de la présence à recouvrer l'énigme, t
out cela détermine un être issu du tissage du temps. Mais nous sommes sans
certitude. Le soleil s'éteint dans l'abîme quand vient son temps. Et les hypoth
èses les mieux élaborées (celles qui ont la démonstration de leur retrait comm
e principe élémentaire) ne sont qu'un cilement dont la flamme disperse la chal
eur. Et avec sa lumière elle nous réconcilie un instant avec notre position. Un
instant minuscule qui nous parvient tout juste comme une vibration de notre h
ôte; d'un tissu qui tremble, dessinant des caractères vivants sur l'égométal'Am
; le cilloscope mesure l'ossatext de mAm. Tout ce qui va et vient dans le mon
de s'intensifie dans l'éphémère; et la position, celle évidée par les objets, prés
ente par ce modèle sa vision et son corps. Façon de fermer notre monde pou
r le tenir; de retenir sa respiration, ses muscles suivant la soudure des atomes
de son corps. Façon aussi de ne pas se laisser mourir, que cette brûlure const
ante, cette proximité du feu d'où nait la métaphore; brûlure dont la douleur est
providentielle et qui accorde au monde d'être tangible, et à l'homme d'être rav
i dans la douleur de ce qui exhausse l'aveuglement -sa dérive éternelle dans le
s explications et l'infantilisme de la fin- le filum terrestrant l'atmorsphère claes
cant dans l'aube, le listmor et la renverse à tromils; l'homul mAm séparé de s
on destin (le destiner une seconde fois) est occuper dans une fausse doublure
de lui-même (tauto++). Celle de la perte de l'homme hors du langage. Positio
n morte de l'homme (dans le retour, emprisonné dans les extrémités du palind
rome, celles jamais saisissable de toutes les langue renversant les grammaires
dans l'aller-retour sur le filum). Car ce qu'il tire du feu, c'est dans un premier t
emps l'impossibilité du sommeil (le sommeil descend dans mAm ce qu'il ignor
e, car fixé dans le présent, il ramène à lui l'énonciation élémentaire, le ce pour
quoi il réalise la décomposition du temps à l'intérieur de mAm) et dans un sec
ond temps, l'usure de cette idée au profit de l'hospitalité de la chose à l'entrée
des orifices. L'habitude rompt les choses à son climat; elles s'adaptent dans c
ette mise en demeure étrangère, le principe fondamental de leur existence se
situant à l'extérieur de leur intelligibilité. Ce mAm est le dépliement de sa capt
ure, et il se prend lui-même au piège de mAm, lui, des objets qu'il convoite s
el on une nécessité qui le transperce. mAm est l'hôte indéfini de l'oracle, le ta
ntôt par excès, qui s'en va par défaut. La naissance du monde est la consuma
tion de sa verbalité. Le passage dans le temps; la langue s'étend sur le monde
et nous octroie le temps (son ouvrage) opére le renversement dans l'immond
e. L'origine est exclut dans le langage (force au langage ment de mAm) et s'a
vère pourtant intoxiquer le monde le ce qui parle de l'obj'à en prenant la figur
e de l'autre) en l'immergeant dans la tombe. Elle permet au monde un regard
réflexif où s'estompent ses limites; la dialectique de sa génération se révélant
à travers le dépassement de ses bornes (comm'une sommation de son existe
nce à la rétention de ses atomes unis par la volonté), et la métaphore en acti
on (phtora versé-reverse l'objà dans les choses) en place de ses limites et d
e ses inscriptions. Installant signifiant et signifié en négation du monde, ils fore
nt l'un dans l'autre la préhension instrumentale des choses. Le signe est cland
estin dans la langue et mAm lui fait écran. Car signifiant et signifié phtorent l'u
n dans l'autre les cratères de l'immonde, ils libérent l'obj'à de l'autr'am'à dans
le puits de mAm, à la coupure du ciel et de la terre qui fait de mAm la vapeur
des sens ou le glacier de l'histoire qui descend dans le puits. mAm nous prése
nte les choses, les assimile à nous, les dérobe dans le gant de l'acte et de la p
ossession, et rend l'essence de chaque chose inaccessible (chaque objet don
t on se saisit perd et gagne une partie de lui même dans l'instabilité métaphori
que qui le caractérise.) L'essence de sa forme disparaît. L'oeuvre s'inscrit da
ns cette lecture; une DESIDERATION du soleil. Ce jeu d'espace et de surs
is, dans l'intermittence d'un hymen impossible entre le lan gage et ses créatur
es, interdit à présent qu'il se passe dans le silence. Les bruits de l'espace so
nt le frottement avec mAm, la cambrure des vents qui modèlent sa chute, qu
i la lance comme un oeil pressé entre les mur du labyrinthe. (pas de lumière,
pas d'interprétation, les textes s'écoulent comme une rivière de sa bouche, l
es mots se mélangent et donnent à l'eau la couleur du puits dans mAm à l'ap
pelle des trois Rome) Ce qui se met en place est à l'intérieur de l'oubli, gon
flé hors de l'écriture, hors de la traversée du monde par le conduit de la bo
uche vers sa perte. Voici ce qui est la chambre dans mAm, un inte... les gal
eries supérieures des Catcombes, aussi bien que les Catacombes elles-mê
mes, sont un cimetière commun: on y trouve à côté les un... le tervalle nais
sant, d'un noeud labyrinthique de circuits, de directions, qui prennent l'appa
rence d'une chose . Intérieur, portes couleurs pâles; lumière intrinsèque de
mAm, retenue dans l'excrétion de ses sens, lang'à thoral exctor comme de
s nécroses de l'abîme restreint à la compression du vide, s'achève dans l'en
veloppe d'un corps différend qui est la fin pré sente d'en finir, l'avènement
d'une gestation et non l'aboutissement à une maturité, qui une fois mature n
e peut se séparer que dans le pourrissement. La fin est éternelle, une propr
iété consciente. Quand le pourrissement n'est plus de notre monde, il subsi
ste, cependant, en résidence dans la fin. Parcours des réseaux orifiques, du
débit, et débiter malgré cela quelque chose dont la faculté essentielle est de
continuellement s'échapper, de ne jamais trouver dans l'obj'à dont il parle,
la façon dont il occupe l'immonde. Retrouver enfin avec mAm les conditio
ns du prolongement de l'immonde, le renversement sur ailleurs... rentre da
ns la nappe phréatique, dans les contorsions du sol, rentre la désyntaxicati
on du monde. Il est même évident, d'après la direction des galeries supéri
eures et inférieures, que l'intention des fondateurs était de relier ces imme
nses souterrains. Le commencement d'un monde, la surcharge des images
qui s'effondrent dans le discours, cela commence en dedans, par l'ébulliti
on endogène de sa matrice, ouvrant l'immonde en son centre. Le commen
cement invisible des choses, elles gagnent leur existence lorsqu'elles appar
aissent du frottement même, ainsi dans la friction des éléments du monde,
le commencement fait preuve par son expansion de son intelligibilité. Il se
livre. Il livre ses formes en les informant à la vue de l'o bj'à, il les transfère
, il se remplit du monde et le comble d'objets, il ravive les termes de la dis
tance qui réalisent les mots (ce qui sépare mAm à l'intérieur). La sociabilit
é qui existe entre le début et la fin, entre le passé et l'avenir, prend forme
dans la plénitude d'une activité persistante. Soit une diffraction continue de
s bords vers le centre, comme l'écroulement de la matière soumise aux for
ces centripètes du temps; soit un bombardement dont les ondes de choc
se propagent sous l'apparence d'informations et qui remplissent les interva
lles entre mAm. A... terme les pôles qui l'activent, viennent à disparaître. E
lle perd le sens de sa négation, le ce en quoi elle s'oppose, et se réalise da
ns l'échange jusqu'à son épuisement. L'oeuvre, tend à se détacher de l'ori
gine, jusqu'à-ce qu'elle en prenne la forme, et qu'elle s'estompe dans mAm
. Elle disparaît alors, hors de la singularité qui la traçait dans l'immonde. L
a forme de l'oeuvre disparaît (le territoire où vit mAm est dans l'immonde
) hors de la-forme-là, et crée, outre l'illusion de son autonomie et de livre
fermé, ce qui fait la matière et le manque du recueil, ce qui dans le recueil
lement est sa lecture. L'oeuvre est ce corps pétrifié, apprété à la décomp
osition; elle nait de la séparation, de la mort reconduite au-delà du témoig
nage. Autant de fois on peut être témoin de la mort, sous toutes les forme
s que mAm focal'anal, autant de fois où elle renchérie dans la foire le tém
oignage de son impuissance, partout où elle souffle dans un corps (encor
e une fois endogène). Personne dans l'anamnèse n'est en mesure de rapp
orter sa mort. Quitte à l'éternel retour, c'est aussi d'impossible retour don
t il faudrait parler. Car la circularité est impossible (qu'une droite soit si c
ourbe qu'elle en vienne à confondre ses extrémités jusqu'à les perdre da
ns le mouvement), fermeture du monde calculé pour parfaire le discours
, le dessiller de sa fermeture temporelle. Le cercle, figure de ce paradox
e, tend à l'image du corps parfait, illimitant le désir qu'il symbolise; mais
il condamne aussi les accès à son centre. (le voyageur évide le trouble,
lorsqu'il crée sa propre circularité, et qu'au bout se dessine en négatif la
vue de son esprit.) Ce mouvement de présence-absence est une mémoi
re bifide qui se combine différement entre les plans. Ce qui peut tendre a
ussi vers des zones centrifuges, au-delà-ça de son existence, en déposa
nt de s corps statiques, de la même façon que les insectes quand ils dép
osent leur mue. Le corps pour écran est tout ceci: ce qui est caché enja
mbe le dévoilement, requiert par une puissance aléatoire à la vérification
par le retour, la contre-expérience, la modification dans le mouvement,
ce qui, en soi, est la désyntaxication des sens. 6° Les inscriptions funér
aires. Placées sur les mausolées, sur les sarcophages, sur les marbres,
sur les OLLOE des colombaires, elles sont plus nombreuses, et mérite
nt l'attention spéciale du voyageur mAm, auxi elle , ipse, puiss'à ses for
mats. Pour ces raisons, le brouillage des pistes et les occupations épar
ses de la simulation dans la répétition de son acte ont partie liée avec l'
exploitation du lecteur; celle qui dans l'imposition de l'échange ne l'aut
orise à aucune liberté sans quoi il se perd. L'oeuvre, elle, est désintégr
é d'un univers -celui de l'histoire, de la généalogie- la concentration (e
xcrées) y sont captées, selon l'image d'un trou noir qui se forme, ouvr
ant l'oeuvre à une telle gravité que mille fois sa masse l'entraîne à trave
rs la membrane de la coïncidence de deux plans, produisent à nouvea
u un lieu de dépression et font voler en éclat leur mémoire originelle. L
es mondes sont cloisonnés, quand bien même, il est possible qu'ils co
mmuniquent entr'eux, c'est selon des correspondances, que l'homme e
st incapable de fixer dans sa mémoire ou qu'il refuse. Le passage est u
ne crise, l'écart suffisant pour qu'il y ait simulation, la transaction est in
évitable. C'est l'expiation de sa crypte, les unes simples et communes
; les autres d'une contexture singulière et accompagnées de détails sur
le droit de sépulcre, sur l'inviolabilité du tombeau, ayant perdu la raiso
n contre son corps de livre, dans l'attente. Elle est confiée au silence,
et dégénérée, partielle, détachée de sa partie souveraine. Elle est mA
m, l'exhibition (concrète), distribuée dans l'aire (de l'oeil de mAm), le
corps de l'objet, (diff++) le-ce-qui-contient, la matière et le manque
n'ayant plus que la force liminale d'émettre des gémissements de ses
formes en face des visiteurs, tangibles, bouclant à l'intérieur la télégr
aphie des sens. Il y a certainement des auteurs dont vous reconnaîtr
ez la télégraphie, par delà la citation et la lecture et la (in)compréhe
nsion de leur oeuvre, qui est mienne. Je vous laisse donc le choix d
e vous tromper sur mon compte ou de vous tromper sur le leur. Je
vous accorde en l'absence de bibliographie de pouvoir vous tromp
er sur le vôtre.
Mais c'est quoi mAm?
D.M T.
AELIO. AVG.
LIB. G. LAVCO. CUBICULAYO
STATIONIS PRIMAE
J.F. SAVANG
CONJUGI. KARISSIMO
BENE MERENTI. FECIT ET. SIBI.
ET. SUIS. ET L.L.B.L. LIBERI P.E.
HOC. MONUMENTUM. H.N.S.