Jean-François SAVANG
TEXTATROU
Un commentaire est-il utile au regard de l'aspect de cette page? Jean-François vous donne sa version des questionnaires à trous des grammaires rudimentaires. N'hésitez pas à le remplir, nous publierons régulièrement vos participations (les versions déjà réalisées sont accessibles par le menu ci-dessus)

Tes genoux  /isselles sont peints  Lanières de cuir  on torse ta taille  laissant nus  ceint ton ventre. Tu couvres  haute  le buste d'entre les autres tout au-devant de toi. Tu changes  la boue avec elle  voix  autant  /satrape joues à m'toi dans la bouchourbe. Reprenn'  la tonalité à des hauteurs en me boursant, et retombent toutes droites  on  /ventre  lent  un TROU dans le sable de l'allée.

Tes nuits de la cypri  cèdent à tournoyer, lentement d'abord, pour se liquéfier au plus vite, puis le  soulevés  les muscles  d'oeufont.  tu étends tes bras derrière leurs, l'enrobe, le froid s'élève de la bouche découverte  essoufflée,  tu te mets à ses omoplates.

elle prostreap-t'en tenaille  éjetées----------------GONGGGGGggg...  /le cou pta est.  te déposent ses mains/  des  de l'arbre au tronc contre mes glaces  ava  de parfum entêtonns  l'autroeil a assisté.  la mise en corps dans le conal  d'englu. J'étreins quelques fessder X  l'autre derrière  des monum'entr'un, les râlant, ta salive allant et  Là, de la terre.Seules tes  klanguent  dans la rotule à humidium vit là  très forte. Se herse  maintenant  u'mectant ma bouchourbe prise dans l'Im  de l'Everest à-genoux.Immobile, j'  operds le curetage  bout entre tes  Mon sexe mlorable je n'  ne revient pas. Ma jambine si saoûle et ématique, qu'dedans est au  tant de plomb  mes cuisses tardent  au dehors. La ce et glissante  elle  touche  des  ailes et trébuche comme un re'soupage  àveuglaire 

A ce nyma hampe, d'une aile,  ensaille la nuqu'roduite.Abdôme  parallèlement les ailessoie,  toi tenant le profil  aux antennes et l'emplissant de ce.  Devant  les jours se mettent à bruigencir. Esclat mat, la salive est couleurs indigo rose et puise par les motelets. 



 

Tu muscles de face, fouetté par le premier rapide détremp  protégeant ton visage. Le  d'hier suivait la zone à bras. Les bras à peu près. Rut de ses joues, deux tourtoranes  comme de la terre mouillée,  d'aphanes risettes bûchant tes réserves d'air  faisceauxfflement doux des traces de fumée de m'aban  je tiens, immobile d'une fleur  des iris. Ils mutent ailes déployées,  parcourûmes à battre parterre.  les sursautements verlagineux  s'enfléchissent  /ouverts  les larmes coulis que sombrement m'a en ventouse  aphorées d'un trait  (garce en folie, pensais-je en moi-même, nul bouc ne viendra t'encaguer!) 
organ'les  grâces fragmées  entre les lèvres du jardin.

Toute la masse s'engloutit, tu m'alim  ma langue est prise dans tes mains  gelée  descend vers ma et me trange, m'étouffe et tu t'escuisses  dédiée dans le  dans le bouchotage  dans l'ocrèse, et qui lui attribut.Innôm leur milieu.Je ne regorette pas la glotte enfilée;  m'alangue oie  résoud  atteint au caractère détouffe, privé de ses émissexes  levant  si totantes entre toutes;  èphes se rétrac, bat quand parfois plus magistrâle, uni à ses reins àimés,  à son tour mon innom-à' venue  restaur  remise  par les joues désorves. Tenir  à la manette de la terre dans le largosaim silo  celle d'où se séparent les plats.Gloutim les phbées. Tout le con a la tête sol dans le slurp,  éet mon anus y est  à la tranchée; les biceps abandent courent dans l'entier; tombe  ,(Isis la note intacte).  Une odénone  dès le soir se répand.Je vois des phbées aux pieds légers qui s'approchent, minuscules dans la calandre vachour; les avoir éxutole  pliées  dans ta volonté  aux transformations speeds et coureuses.  dans ses cheveux il y a  l'amnusie de la tête fourne,  toutes frapp´es dans la terre de la plante à des violences grandissantes.  aucune ne dit que dans la faille  frappe l'ental-came  parmi toutes  seule à tordr'  spirer vite dans le natco perfulsex.  alors ta main au centre, a  sur les moulages  exercé  sur ma bave.  Je le sais, fleurs, tam-tam, chants, trompettes toutes oeneuses,  funeste mon choc me revient  tte bourlant  et, mais se refermblent. 

Une vomiante à voix hautélange tire,  te prén à le  dans l'encointrée.  Larme ma salive, jette leur courant jusqu'aux malédictions tegrott  et stridente à des jeux plus de l'taire.Tu  toiles les  plexus  qui  nient  le jour du mocrés. Il fait un enstrue de Dieu qui coïncid  'ntre tes mains  et des fleurs vulement maniées vidées vidées de leurs épis  L'eau fait greter les rosclefs en ésbulbes  les écabrachiaux les ont fait la pareille; zak les pistils des sacrés temps. Ici, dit ma chérie suis  sur le très  prompteménis  l'eau dégoûte-alpel  de la glycine belu par tes mains  âme qu'elles ont anche  les écardes centaurées! phbée rexit au toile, éculissée et toute peinte rose peau.

Dessins des mets,  d'entendrenie. Tu uves des hyaciques, tu me voises et m'énerves, prodiant débreaucou. Tant des feuilles de la forêt, même à la coulure, c'est que peu d'oreilles couturent ainsi  l'engrangement, qu'elle dit.