TEXTATROU par lili.leonetti@free.fr (Août 2003)
Tes genoux sont pour moi mais ô tes genoux /isselles sont peints comme de vaines parures c'est Lanières de cuir c'est on torse ta taille , et j'étais mauvais garçon laissant nus brouillards, croyant vraiment ceint ton ventre. Tu couvres de vagues reflets la haute stature sans cesse perlant etle buste d'entre les autres tout au-devant de toi. Tu changes c'est à rebours et penche en attendant et roule la boue avec elle . Mais c'est sans voix c'est si rude, autant vaudrait en rire /satrape joues à m'toi dans la bouchourbe. Reprenn' qui pourra la tonalité à des hauteurs en me boursant, et retombent toutes droites flèches drues en d'improbables fièvres. Mazette on y perd /ventre crevéau moment lent et c'est un TROU dans le sable de l'allée.
Tes nuits de la cypri tes nuits cèdent à tournoyer, lentement d'abord, pour se liquéfier au plus vite, puis le temps change. Ce sont nos coeurs soulevés ce sont les muscles , mais c'est faux. Parce que ce sont eux, parce qu'd'oeufont. mais comme des rustres. Après c'est facile : tu étends tes bras derrière leurs, l'enrobe, le froid s'élève de la bouche découverte et cogne le vent sur mes yeux, et roule ma pauvre carcasse essoufflée, et mon corps se dérobe, et tu te mets à ses omoplates.
en vain. Petite truite, ne songe plus à la rivière : elle prostreap-t'en tenaille ce sont des eaux usées, c'est les vagues mares pourries éjetées----------------GONGGGGGggg... Pour celui qui est fort, mais pour celui qui sait, ça va : /le cou pta est. simple. Je te prendrai là où te déposent ses mains/ là où des ruses rigolotes nous font passer de l'arbre au tronc contre mes glaces vaines ava sans tain, glaces de parfum entêtonns, et c'est rire, qui sait ? puisquel'autroeil a assisté. Une petite heure encore, la mise en corps dans le conal juste une petite heure d' d'englu. J'étreins quelques fessder X mais c'est pour la forme. Après tout, je m'en fous : l'autre derrière grignote des monum'entr'un, les râlant, ta salive allant et l'autre encore se plaint. Mais moi ? Là, de la terre.Seules tes rosiers persistent ; je m'en occupe crois-moi, j'en broutent les épines ; elles klanguent rude, elles sont retorse, elle rechignent ! Pour ce que dans la rotule à humidium vit là , parce que c'est une variété très forte. Se herse la dague, pergola de mes humeurs molles, maintenant que j'ai tout vu, tout pris tout... Puis on s'enfout ; c'est en u'mectant ma bouchourbe prise dans l'Immense vanité de toute chose (j'ai beaucoup d'humour), vacuité de qui s'enchante de l'Everest à-genoux.Immobile, j'assassine deux trois mouches, j'operds le curetage mais une entre toute m'enchante : c'est un bout entre tes manières drôles, alors... Mon sexe mlorable je n' songe guère, parce que l'eau me fait un bien fou. Le monde n'en ne revient pas. Ma jambine si saoûle et ématique, qu'dedans est au, mais l'ordre est à ce prix. Et puistant de plomb ce ne peut pas être vain, et deux de mes cuisses tardent, il fait froid, c'est le moment de braver la neige au dehors. La ce et glissante, j'ai enfoncé mon bonet, j'ai bien coiffé mes cheveux, elle peut venir ! Si je la touche ce sera tout pour moi, ce sera des feux d'artifice : j'ai gagné ! Je range mes ailes et trébuche comme un re'soupage parce que je suis bien costaud maintenant. Tu veux voir à quel point àveuglaire?
A ce nyma hampe, d'une aile, douce, qu'à peine ensaille la nuqu'roduite.Abdôme rustre un peu, mais malin sûrement, et comme figé parallèlement les ailessoie, de ce qu'il reste de nous, du mieux du mieux de toi tenant le profil aux vertiges drus, aux antennes et l'emplissant de ce. Mon dieu ! Devant et devant et devant et devant et merde les jours se mettent à bruigencir. Esclat mat, la salive est couleurs indigo rose et puise par les motelets.
Tu muscles de face, fouetté par le premier rapide détremp le jour est un peu pointu, c'est un drôle de geste protégeant ton visage. Le jour est un peu pointu qui d'hier suivait la zone à bras. Les bras à peu près. Rut de ses joues, deux tourtoranes à même le sol comme de la terre mouillée, plié en deux d'aphanes risettes bûchant tes réserves d'air : c'est au bord que tu veux arriver ! Entends les faisceauxfflement doux des traces de fumée de m'aban où je tiens, immobile d'une fleur le plus pur (le plus vrai) des iris. Ils mutent ailes déployées, ô secours, ô volée,ô friches, et nous vous parcourûmes à battre parterre. Nous craquions les sursautements verlagineux sans joie, attendant que s'enfléchissent les vagues tramway/ouverts les vantaux, et coulent les larmes coulis que sombrement m'a en ventouse parce que si douces aphorées d'un trait fiché en plein la cible (garce en folie, pensais-je en moi-même, nul bouc ne viendra t'encaguer!) Nul sang tardif, aux viscères les organ'les, nulles frivolités ; ce sont grâces fragmées, un plaisir pour le conaisseur entre les lèvres du jardin.
Toute la masse s'engloutit, tu m'alim peste soit du butor ! Commema langue est prise dans tes mains et s'entend pour ce qui est de la gelée ; et s'entend pour ce qui est de la descend vers ma et me trange, m'étouffe et tu t'escuisses , pregnance dédiée dans le lac infâme, dans le bouchotage (tu veux rire ?), et dans l'ocrèse, et qui lui attribut.Innôm leur milieu.Je ne regorette pas la glotte enfilée; l'ordre est pesant, le rythme m'alangue oie la nuit qui sourd, oie ! Change, résoud, largue, grève, atteint au caractère détouffe, privé de ses émissexes pour un peu de levant, pour un peu de ponant,si totantes entre toutes; les heures sont dures, mais ce sont les heures. Des èphes se rétrac, bat quand parfois plus magistrâle, uni à ses reins àimés, et rumine parce qu'à à son tour mon innom-à' venue brisée, à temps restauré et à partieremise. - une proie dans la main, et par les joues désorves. Tenir, mais tenir vraiment, à la manette de la terre dans le largosaim silo de l'âme engoncée, celle d'où se séparent les plats.Gloutim les phbées. Tout le con a la tête sol dans le slurp, c'est un bruit ignoble, c'est éet mon anus y est le premier : un grand rôle ! Si fier à la tranchée; les biceps abandent courent dans l'entier; tombe dans le ridicule dès qu'on les regarde ,(Isis la note intacte). (tu parles) Une odénone , c'est rien, qui dès le soir se répand.Je vois des phbées aux pieds légers qui s'approchent, minuscules dans la calandre vachour; les avoir éxutole (misère de celui qui sait) pliées (à deux sous la livre) dans ta volonté (allez, va, on sait ce qu'elle vaut !) m 'embourbe a demi dans la vase, j'y cours pourtant, et plutôt deux fois qu'une. Tout a une fin pourtant ; tout mèneaux transformations speeds et coureuses. L'un dit "dans ses cheveux il y a la glèbe" et pour l'autre, c'est l'amnusie de la tête fourne, les âmes les mieux trempées : toutes frapp´es dans la terre de la plante à des violences grandissantes. Mais en douce, et parce qu'aucune ne dit que dans la faille, un vain remède frappe l'ental-came qui est une gloire parmi toutes et parmi toutes, la seule à tordr' ô romps tout ma joie ! Et consent à spirer vite dans le natco perfulsex. Et doucement alors ta main au centre, a bien d'autres atours, et prend sur les moulages un joli avantage que seul un coeur exercé sait connaître. Et sur ma bave. molle, et sur mes manquement, ruse ! Je le sais, fleurs, tam-tam, chants, trompettes toutes oeneuses, en ce qu'elles vantent leur chant. Mais funeste mon choc me revient, mais je le savais tellement. Dette bourlant mon coeur et, mais se refermblent. les vagues remords, du vent.
Une vomiante à voix hautélange tire, me force à revenir à toi, à te prén à le faire savoir, à m'occuper de toi, à penser à toi dans l'encointrée. J'ai d'autres soucis. Larme ma salive, jette leur courant jusqu'aux malédictions tegrott, c'est si difficile... et stridente à des jeux plus de l'taire.Tu crois, et prend pour toiles les vibrations absurdes de mon plexus Je ne regarde pas l'or du soir qui tombe, je ne suis pas de ceux qui nient l'infidélité, l'ancre à la mer et le jour du mocrés. Il fait un enstrue de Dieu qui coïncidmal avec ce que nous sommes ; 'ntre tes mains tout fane, et des fleurs vulement maniées vidées vidées de leurs épis sont piteux trésor blet. L'eau fait greter les rosclefs en ésbulbes aux gorps grêles, et les écabrachiaux les ont fait la pareille; zak les pistils des sacrés temps. Ici, dit ma chérie suis la voix qui t'envoie sur le très long détour au prompteménis idiot. Où l'eau dégoûte-alpel, où l'orde la glycine belu par tes mains fond comme neige au soleil ; où l'âme qu'elles ont anche finit par tout pleurer ; ô les écardes centaurées! phbée rexit au toile, éculissée et toute peinte rose peau.
Dessins des mets, rixes futiles d'entendrenie. Tu uves
des hyaciques, tu me voises et m'énerves, prodiant débreaucou.
Tant des feuilles de la forêt, même à la coulure, c'est
que peu d'oreilles couturent ainsi, à-dieu-vat, c'estl'engrangement,
qu'elle dit.