TEXTATROU par Delphine Demilly (Août 2003)

Tes genoux  paradoxe éloquent sont/isselles sont peints  sont jaunes sont tout ce qui te fait toi.Lanières de cuir  (je dirais plutôt du skai, mais bon si tu le dis) on torse ta taille  de femme enceinte laissant nus  tes épaules et une autre lanière (en laine celle-là) ceint ton ventre. Tu couvres  de ta haute  voix les autres sons. Disons le franchement tu hurles. Tu prétends que le buste d'entre les autres tout au-devant de toi. Tu changes  d'avis et tu fais mumuse dans la boue avec elle  Tu ne sais plus son prénom et tu lui demande de ta voix  la plus naturelle (que tu crois) "Heu autant  je me souviens de ton âge mais ton prénom heu je ne sais plus" Elle se met à hurler dans un dialecte pékinois du 18eme siècle "/satrape joues à m'toi dans la bouchourbe. Reprenn'  frout uit a joue encore" Tu ne comprends rien et la tonalité à des hauteurs en me boursant, et retombent toutes droites  comme des ailes percées. Tu es scilléé, la garce parle Pékinois, on  ne te l'avais pas dit! Tu poses tes mains sur ton gros/ventre  de femme enceinte et tu lui réponds lentement . Tu as honte de ton inculture et tu aimerais creuser (pour te cacher ) un TROU dans le sable de l'allée.

Tes nuits de la cyprine et le bébé que tu portes cèdent à tournoyer, lentement d'abord, pour se liquéfier au plus vite, puis les premières contractions se font sentir. Ton bassin et tes jambes sont soulevés  tu fais travailler les muscles  du bassin, tu commences le travail d'oeufont.  et tu te demandes si ils ne sont pas deux là dedans tellement c'est lourd. En sueur, tu étends tes bras derrière leurs, l'enrobe, le froid s'élève de la bouche découverte, tu gémis essoufflée,  et pour finir tu te mets à ses omoplates.

Depuis qu'elle prostreap-t'en tenaille  tu ne sais plus si tu as fait le bon choix. Tu voudrais qu'elles soient réjetées ---------------- GONGGGGGggg...  ..."Hé ho du calme là-dedans on est pas au pièce tout de même" t'insurges tu contre le fruit de ton amour ancien. Enfin, /le cou pta est.  douloureux et elles te déposent ses mains/  froides sur ton ventre. tu te réveilles, te voilà nue et avachie le ventre plat. Ca fait des  "tu te sens immérgée. Tu demandes à voir ton enfant de l'arbre au tronc contre mes glaces avant qu'il ne soit trop tard. L'infèrmière te sourit en t'aspergeantde parfum entêtonns. Tu aurais préféré un autre parfum, plus exotique mais bon tu n'as pas trop le choix. Mrl'autroeil a assisté.  à l'accouchement et te dis que tout c'est bien passé et que la mise en corps dans le conal  s'est fait en douceur. Il ont naturellement envoyé ton bébé en Plutonie et pour cela ils l'ont recouvert d'englu. J'étreins quelques fessder X  quand on me raconte cette histoire de Plutonie. Je n'y crois pas. C'est pas comme l'autre derrière, il croit tout ce qu'on lui raconte. Puis des monum'entr'un, les râlant, ta salive allant et  et veant sur mes mains je décide de ne plus t'écouter en m'en vais sur le chemin. Là, de la terre.Seules tes  roses pointent leurs petites flèches. Les autres plantes comme les klanguent  sont complétement fanées. Je regarde nonchalement le reste du chemin et en tombant sur une pierre je m'enfonce un clou dans la rotule à humidium vit là  pourtant très forte. Se herse  le reste de mon corps. J'ai maintenant  mal partout et te maudis de m'avoir compter l'histoire des enfants de Plutons. Je me lève, u'mectant ma bouchourbe prise dans l'Impossible dentier que je me suis fait mettre. Ton jardin est plus dangereux que l'ascentionde l'Everest à-genoux.Immobile, j' arrive à peine à bouger mon visage. Alors je sors ma langue, operds le curetage  n'ose pas enlever le dentier, et parviens à enlever un bout entre tes  satanées plantes Mon sexe mlorable je n'ose pas le croire est tout ratatiné. Suis je impuissant ? (Me demande -je fort inquiet). J'essaie de me toucher mais l'erection ne revient pas. Ma jambine si saoûle et ématique, qu'dedans est au  dehors c'est tout pareil. Autant de plomb  que de brouillard. Je suis bel et bien paralisé dans ce jardin, mes cuisses tardent  à réagir, et comble de l'horreur ma clavicule est au dehors. La ce et glissante  suintante, j'ai peur, je cris. Mais toi et elle  êtes dans la cuisine et ne vous m'entendez pas. Je touche  un peu la clavicule pour voir, et des  asticots infâmes sortent de mon corps. Je hurle de plus belle, sautille en l'air mais comme je n'ai pas d'ailes et trébuche comme un re'soupage  de tout le poid de mon corps pauvre àveuglaire  que je suis.

A ce nyma hampe, d'une aile,  je pleure ma maman et ensaille la nuqu'roduite.Abdôme, mon frère m'entends enfin et alors queparallèlement les ailessoie,  il vient à toi tenant le profil  gauche et te grondant de m'avoir fait peur avec tes histoires de Plutoniens aux antennes et l'emplissant de ce.  Grr tu n'es qu'une garce. Devant  le triste spectacle de mon corps meutri tu souris et les jours se mettent à bruigencir. Esclat mat, la salive est couleurs indigo rose et puise par les motelets. 



 

Tu muscles de face, fouetté par le premier rapide détrempée protégeant ton visage. Le  ciel d'hier suivait la zone à bras. Les bras à peu près. Rut de ses joues, deux tourtoranes  négligées comme de la terre mouillée,  comme le hasard même. Et d'aphanes risettes bûchant tes réserves d'air  t'envoient des faisceauxfflement doux des traces de fumée de m'aban. Moi aussi j'aime les m'aban te dis-je ému, etje tiens, immobile d'une fleur  à l'autre le relfet étrange des iris. Ils mutent ailes déployées,  j'ai mal à l'épaule mais comme nous parcourûmes à battre parterre.  depuis mon accident, je supporte mieux les sursautements verlagineux  de ton visage qui s'enfléchissent  sur le miens. Je t'ai pardonné le coup du jardin malgré mes bobos /ouverts  J'arrive même à t'émouvoir les larmes coulis que sombrement m'a en ventouse  sont la preuve même que machute et ma douleur (aphorées d'un trait) que tu n'es pas insensible à mon charme(garce en folie, pensais-je en moi-même, nul bouc ne viendra t'encaguer!)  Et voilà comment
organ'les  (je m'en souviens) grâces fragmées  à commencé notre histoire :entre les lèvres du jardin.

Toute la masse s'engloutit, tu m'alimentes de ta langue et ma langue est prise dans tes mains  toutes les nuits la même chose, le même état d'âme, la même passion gelée. Notre amour descend vers ma et me trange, m'étouffe et tu t'escuisses  mais je ne te laisse pas faire. Je préfère quand tu es dédiée dans le  meilleur de notre pire espoir. Et dans le bouchotage  tu excelles et cette nuit dans l'ocrèse, et qui lui attribut.Innôm leur milieu.Je ne regorette pas la glotte enfilée;  je prèfere de loin la chaleur qui m'alangue oie  et de canard. Je suis la basse court à moi tout seul ce qui , je te le concède ne résoud  rien. Mais je sais que cela atteint au caractère détouffe, privé de ses émissexes  et cela me satisfait. Puis levant  ton visage humide de tant de larmes, larmes si totantes entre toutes;  tu t'offres à moi tels èphes se rétrac, bat quand parfois plus magistrâle, uni à ses reins àimés,  et Junie désorientée. Quand à son tour mon innom-à' venue  je respire en fin et t'invite au restaurant. Maintenant que te voilà remise  de tes émotions et moi de mes blessures, je t'attrape par les joues désorves. Tenir  ta joue grace à la manette de la terre dans le largosaim silo  uhette fluide, je ne pouvais rêver mieux. Le restaurant est infecte et nous sortons par la cuisine, celle d'où se séparent les plats.Gloutim les phbées. Tout le con a la tête sol dans le slurp,  la bouche pleine nous parlons d'amour. Crougojgfnz éet mon anus y est  . Enfin, arrivée à la tranchée; les biceps abandent courent dans l'entier; tombe  mon corps sur le tient et je t'appelle Pénélope ,(Isis la note intacte).  Tu grognes de plaisir. Une odénone  offerte dès le soir se répand.Je vois des phbées aux pieds légers qui s'approchent, minuscules dans la calandre vachour; les avoir éxutole  je me dit "ça y est je délire" et je hurle les jambes pliées  ,"pitiée allez vous-en horribles phbées !"Tu m'entraines dans ta volonté. Tu m'assure que nous sommes seuls. Il a  peur le grand gaillard. Vas y  mon amour enfouis moi protège moi de ces monstres prépubères. Il y a  tant de peur dans un seul être. C'est sûrement dû aux transformations speeds et coureuses.  La phbée reine vole autour de moi et dans ses cheveux il y a  toutes les contradictions de l'amnusie de la tête fourne,  tous les paradoxes, toutes frapp´es dans la terre de la plante à des violences grandissantes.  Dans mon délire je sens qu'aucune ne dit que dans la faille  de mon être il y à là le meilleur de nous même. Et je frappe l'ental-came  de rage. Je suis comme une femme et parmi toutes  les femmes je suis le seul homme. Toi seule à tordr'  le cou à mes phbees interieur, toi, seule à pouvoir spirer vite dans le natco perfulsex.  pour que je m'endorme. Quand alors ta main au centre, a  trouver le Prozac sur les moulages  du du coffre en bois, tu m'en donnes une bonne dose. Je me suis exercé  à ne peux plus m'endormir, sur ma bave.  ZZZZZZZZ Je le sais, fleurs, tam-tam, chants, trompettes toutes oeneuses,  mes rêves narcotiques sont le symbole funeste mon choc me revient  dans le jardins, Pluton, les plantes, la pierre la chute. Comme une chatte bourlant  de tout son poid je te dis et, mais se refermblent.  et je me tais.

Une vomiante à voix hautélange tire,  et te prén à le  toucher dans l'encointrée.  Chut. Larme ma salive, jette leur courant jusqu'aux malédictions tegrott  et ne dis plus jamais mot. si ce n'est d'une voix calme et stridente à des jeux plus de l'taire.Tu  caches les souvenirs, les toiles les  toiles, l'étoile et le plexus  symbole de mon égo qui  est bien mal en point. les jours nient  les autres jours, et plus précisément le jour du mocrés. Il fait un enstrue de Dieu qui coïncide pile poil avec le jour de ma chute là où j'ai fini 'ntre tes mains  , au milieu des pierres et des fleurs vulement maniées vidées vidées de leurs épis  sous un soleil criminel. L'eau fait greter les rosclefs en ésbulbes  mon ventre, les écabrachiaux les ont fait la pareille; zak les pistils des sacrés temps. Ici, dit ma chérie suis  et serais déjà mort. J'ai cherché sur le trèsor dans le trou sous le sable, prompteménis  et incertain et l'eau dégoûte-alpel  m'ont ramené à notre histoire. Dans un champ, de la glycine belu par tes mains  sont plus douces que l'âme qu'elles ont anche  chévtrées ces dernieres années. Adieu les écardes centaurées! phbée rexit au toile, éculissée et toute peinte rose peau.

Dessins des mets,  dessins de phbée je n'ai plus peur d'entendrenie. Tu uves des hyaciques, tu me voises et m'énerves, prodiant débreaucou. Tant des feuilles de la forêt, même à la coulure, c'est que peu d'oreilles couturent ainsi  mon soudain repos. tu n'as plus peur de l'engrangement, qu'elle dit.