TEXTATROU par Nicolas Contreras (octobre 2002)

Tes genoux  ramenés aux aisselles sont peints  et encerclés de Lanières de cuir  on ne voit plus ton torse ta taille  affaissée laissant nus  tes bras, la douleur ceint ton ventre. Tu couvres  à voix haute  les grincements qui te parcourent le buste d'entre les autres tout au-devant de toi. Tu changes  et joue dans la boue avec elle  ta voix  comme autant  de farsatrape joues à m'toi dans la bouchourbe. Reprenn'  donc les mélodies la tonalité à des hauteurs en me boursant, et retombent toutes droites  vers le bas.on  te serres le ventre  Les chants lentement disparaissent vers un TROU dans le sable de l'allée.

Tes nuits de la cypri  de concèdent à tournoyer, lentement d'abord, pour se liquéfier au plus vite, puis le  coeur et la tête soulevés  d'un bloc les muscles  tirent et ... d'oeufont. Alors tu étends tes bras derrière leurs, l'enrobe, le froid s'élève de la bouche découverte  et humide. essoufflée,  maintenant tu te mets à ses omoplates.

Quand a elle, elle prostreap-t'en tenaille  et d'un coup en arrière les epaules réjetées----------------GONGGGGGggg...  Ainsi /le cou pta est.  lancé . La fuite déposent ses mains/  tendues comme des  branches vives de l'arbre au tronc contre mes glaces  La Java  emplie de parfum entêtonns  que l'autroeil a assisté.  elle attend la mise en corps dans le conal  plein d'englu. J'étreins quelques fessder X  et pressant l'autre derrière  dirigé vers des monum'entr'un, les râlant, ta salive allant et  venant par ci par Là, de la terre.Seules tes  articulations klanguent  et dans la rotule à humidium vit là  jouissance très forte. Se herse  enfin le dos et maintenant  cette langue u'mectant ma bouchourbe prise dans l'Immense escalade de l'Everest à-genoux.Immobile, j'  attend puis operds le curetage  systematique de ce bout entre tes  dents Mon sexe mlorable je n'  y trouve rien mais ne revient pas. Ma jambine si saoûle et ématique, qu'dedans est au  moins autant de plomb  voila pourquoi mes cuisses tardent  et s'attardent au dehors. La ce et glissante  et voila qu'elle  revient et me touche  du bout des  doigts comme autant d'ailes et trébuche comme un re'soupage  fatigué, àveuglaire  et fourbu.

A ce nyma hampe, d'une aile,  de nouveau elle ensaille la nuqu'roduite.Abdôme  pour qui parallèlement les ailessoie,  te voila toi tenant le profil  bas aux antennes et l'emplissant de ceci et cela Devant  nous les jours se mettent à bruigencir. Esclat mat, la salive est couleurs indigo rose et puise par les motelets. 



 

Tu muscles de face, fouetté par le premier rapide détrempage protégeant ton visage. Le  chemin d'hier suivait la zone à bras. Les bras à peu près. Rut de ses joues, deux tourtoranes  brouillées comme de la terre mouillée,  amenant d'aphanes risettes bûchant tes réserves d'air  conduites en faisceauxfflement doux des traces de fumée de m'abandonner,non ! je tiens, immobile d'une fleur  qui ressemble à des iris. Ils mutent ailes déployées,  mais nous parcourûmes à battre parterre.  Malgré les sursautements verlagineux  du dehors, tous s'enfléchissent  a bras ouverts  pour sentir les larmes coulis que sombrement m'a en ventouse  dans les aphorées d'un trait  qui s'arrete (garce en folie, pensais-je en moi-même, nul bouc ne viendra t'encaguer!)  eeh oui ! organ'les  fameuses grâces fragmées  s'enfoncent entre les lèvres du jardin.

Toute la masse s'engloutit, tu m'alimentes , ma langue est prise dans tes mains  qui m'offrent une gelée  qui bientôt descend vers ma et me trange, m'étouffe et tu t'escuisses  toute dédiée dans le  passage dans le bouchotage  et dans l'ocrèse, et qui lui attribut.Innôm leur milieu.Je ne regorette pas la glotte enfilée;  Au contraire m'alangue oie  s'agite pour résoudre ce qui est atteint au caractère détouffe, privé de ses émissexes  excités et relevant  pour une joie si totantes entre toutes;  le controle d' èphes se rétrac, bat quand parfois plus magistrâle, uni à ses reins àimés,  elle danse à son tour mon innom-à' venue  et enfin restaure dans sa remise  grandie par les joues désorves. Tenir  une fois pour toute à la manette de la terre dans le largosaim silo  de celle d'où se séparent les plats.Gloutim les phbées. Tout le con a la tête sol dans le slurp,  emplatrée et mon anus y est  élargi à la tranchée; les biceps abandent courent dans l'entier; tombe  pour finir ,(Isis la note intacte).  Survit Une odénone  qui dès le soir se répand.Je vois des phbées aux pieds légers qui s'approchent, minuscules dans la calandre vachour; les avoir éxutole  bien pliées  comme dans ta volonté  me fait plaisir, me réjouis ? a  Toujours y  croire a  tout ca aux transformations speeds et coureuses.  Il y a dans ses cheveux il y a  quelque chose de l'amnusie de la tête fourne,  comme les graines toutes frapp´es dans la terre de la plante à des violences grandissantes.  Et d' aucune ne dit que dans la faille  qui frappe l'ental-came  elles font parmi toutes  les autres, une seule à tordr'  , virer et spirer vite dans le natco perfulsex.  Tu ramènes alors ta main au centre, a  coté sur les moulages  qui ont exercé  un dessin sur ma bave.  Maintenant Je le sais, fleurs, tam-tam, chants, trompettes toutes oeneuses,  drame funeste mon choc me revient  dans la tete tte bourlant  ça me fait peur et, mais se refermblent.  ouf !

Une vomiante à voix hautélange tire,  peine et puis te prén à le  maudire dans l'encointrée.  Ma Larme ma salive, jette leur courant jusqu'aux malédictions tegrott  je hurle et stridente à des jeux plus de l'taire.Tu  regardes les étoiles les  confonds avec ton plexus  chargé de fourmillements qui  brillent et nient  le soir pour le jour du mocrés. Il fait un enstrue de Dieu qui coïncide parfaitement e 'ntre tes mains  jolies, et des fleurs vulement maniées vidées vidées de leurs épis  se fanent L'eau fait greter les rosclefs en ésbulbes  alors que les écabrachiaux les ont fait la pareille; zak les pistils des sacrés temps. Ici, dit ma chérie suis  le sentier sur le très  haut sommet de prompteménis  d'où coule l'eau dégoûte-alpel  jusqu'a former de la glycine belu par tes mains  dans lesquelles tient l' âme qu'elles ont anche  ballotée par les écardes centaurées! phbée rexit au toile, éculissée et toute peinte rose peau.

Dessins des mets,  dessins d'entendrenie. Tu uves des hyaciques, tu me voises et m'énerves, prodiant débreaucou. Tant des feuilles de la forêt, même à la coulure, c'est que peu d'oreilles couturent ainsi  la fin de l'engrangement, qu'elle dit.