Tes genoux ramenés aux aisselles sont peints et encerclés de Lanières de cuir on ne voit plus ton torse ta taille affaissée laissant nus tes bras, la douleur ceint ton ventre. Tu couvres à voix haute les grincements qui te parcourent le buste d'entre les autres tout au-devant de toi. Tu changes et joue dans la boue avec elle ta voix comme autant de farsatrape joues à m'toi dans la bouchourbe. Reprenn' donc les mélodies la tonalité à des hauteurs en me boursant, et retombent toutes droites vers le bas.on te serres le ventre Les chants lentement disparaissent vers un TROU dans le sable de l'allée.
Tes nuits de la cypri de concèdent à tournoyer, lentement d'abord, pour se liquéfier au plus vite, puis le coeur et la tête soulevés d'un bloc les muscles tirent et ... d'oeufont. Alors tu étends tes bras derrière leurs, l'enrobe, le froid s'élève de la bouche découverte et humide. essoufflée, maintenant tu te mets à ses omoplates.
Quand a elle, elle prostreap-t'en tenaille et d'un coup en arrière les epaules réjetées----------------GONGGGGGggg... Ainsi /le cou pta est. lancé . La fuite déposent ses mains/ tendues comme des branches vives de l'arbre au tronc contre mes glaces La Java emplie de parfum entêtonns que l'autroeil a assisté. elle attend la mise en corps dans le conal plein d'englu. J'étreins quelques fessder X et pressant l'autre derrière dirigé vers des monum'entr'un, les râlant, ta salive allant et venant par ci par Là, de la terre.Seules tes articulations klanguent et dans la rotule à humidium vit là jouissance très forte. Se herse enfin le dos et maintenant cette langue u'mectant ma bouchourbe prise dans l'Immense escalade de l'Everest à-genoux.Immobile, j' attend puis operds le curetage systematique de ce bout entre tes dents Mon sexe mlorable je n' y trouve rien mais ne revient pas. Ma jambine si saoûle et ématique, qu'dedans est au moins autant de plomb voila pourquoi mes cuisses tardent et s'attardent au dehors. La ce et glissante et voila qu'elle revient et me touche du bout des doigts comme autant d'ailes et trébuche comme un re'soupage fatigué, àveuglaire et fourbu.
A ce nyma hampe, d'une aile, de nouveau elle ensaille la nuqu'roduite.Abdôme pour qui parallèlement les ailessoie, te voila toi tenant le profil bas aux antennes et l'emplissant de ceci et cela Devant nous les jours se mettent à bruigencir. Esclat mat, la salive est couleurs indigo rose et puise par les motelets.
Tu muscles de face, fouetté par le premier rapide détrempage protégeant ton visage. Le chemin d'hier suivait la zone à bras. Les bras à peu près. Rut de ses joues, deux tourtoranes brouillées comme de la terre mouillée, amenant d'aphanes risettes bûchant tes réserves d'air conduites en faisceauxfflement doux des traces de fumée de m'abandonner,non ! je tiens, immobile d'une fleur qui ressemble à des iris. Ils mutent ailes déployées, mais nous parcourûmes à battre parterre. Malgré les sursautements verlagineux du dehors, tous s'enfléchissent a bras ouverts pour sentir les larmes coulis que sombrement m'a en ventouse dans les aphorées d'un trait qui s'arrete (garce en folie, pensais-je en moi-même, nul bouc ne viendra t'encaguer!) eeh oui ! organ'les fameuses grâces fragmées s'enfoncent entre les lèvres du jardin.
Toute la masse s'engloutit, tu m'alimentes , ma langue est prise dans tes mains qui m'offrent une gelée qui bientôt descend vers ma et me trange, m'étouffe et tu t'escuisses toute dédiée dans le passage dans le bouchotage et dans l'ocrèse, et qui lui attribut.Innôm leur milieu.Je ne regorette pas la glotte enfilée; Au contraire m'alangue oie s'agite pour résoudre ce qui est atteint au caractère détouffe, privé de ses émissexes excités et relevant pour une joie si totantes entre toutes; le controle d' èphes se rétrac, bat quand parfois plus magistrâle, uni à ses reins àimés, elle danse à son tour mon innom-à' venue et enfin restaure dans sa remise grandie par les joues désorves. Tenir une fois pour toute à la manette de la terre dans le largosaim silo de celle d'où se séparent les plats.Gloutim les phbées. Tout le con a la tête sol dans le slurp, emplatrée et mon anus y est élargi à la tranchée; les biceps abandent courent dans l'entier; tombe pour finir ,(Isis la note intacte). Survit Une odénone qui dès le soir se répand.Je vois des phbées aux pieds légers qui s'approchent, minuscules dans la calandre vachour; les avoir éxutole bien pliées comme dans ta volonté me fait plaisir, me réjouis ? a Toujours y croire a tout ca aux transformations speeds et coureuses. Il y a dans ses cheveux il y a quelque chose de l'amnusie de la tête fourne, comme les graines toutes frapp´es dans la terre de la plante à des violences grandissantes. Et d' aucune ne dit que dans la faille qui frappe l'ental-came elles font parmi toutes les autres, une seule à tordr' , virer et spirer vite dans le natco perfulsex. Tu ramènes alors ta main au centre, a coté sur les moulages qui ont exercé un dessin sur ma bave. Maintenant Je le sais, fleurs, tam-tam, chants, trompettes toutes oeneuses, drame funeste mon choc me revient dans la tete tte bourlant ça me fait peur et, mais se refermblent. ouf !
Une vomiante à voix hautélange tire, peine et puis te prén à le maudire dans l'encointrée. Ma Larme ma salive, jette leur courant jusqu'aux malédictions tegrott je hurle et stridente à des jeux plus de l'taire.Tu regardes les étoiles les confonds avec ton plexus chargé de fourmillements qui brillent et nient le soir pour le jour du mocrés. Il fait un enstrue de Dieu qui coïncide parfaitement e 'ntre tes mains jolies, et des fleurs vulement maniées vidées vidées de leurs épis se fanent L'eau fait greter les rosclefs en ésbulbes alors que les écabrachiaux les ont fait la pareille; zak les pistils des sacrés temps. Ici, dit ma chérie suis le sentier sur le très haut sommet de prompteménis d'où coule l'eau dégoûte-alpel jusqu'a former de la glycine belu par tes mains dans lesquelles tient l' âme qu'elles ont anche ballotée par les écardes centaurées! phbée rexit au toile, éculissée et toute peinte rose peau.
Dessins des mets, dessins d'entendrenie. Tu uves des hyaciques,
tu me voises et m'énerves, prodiant débreaucou. Tant des feuilles
de la forêt, même à la coulure, c'est que peu d'oreilles
couturent ainsi la fin de l'engrangement, qu'elle dit.