TEXTATROU par Sophie Régnier (août 2002)
Tes genoux ,derrière, sont striés en réplique d'A /isselles sont peints des signes de pincement Lanières de cuir en attente ou usagées, on torse ta taille Le réveil laissant nus tes yeux , tu vois pourtant qu'une marque de passage ceint ton ventre. Tu couvres tes yeux, les découvres et sort ta voix haute . Il est resté là le buste d'entre les autres tout au-devant de toi. Tu changes la tonalité, tessiture de la la boue avec elle. Elle crie, ta voix . Son buste autant que le reste. Toi, cul /satrape joues à m'toi dans la bouchourbe. Reprenn' Zy un peu, n'hésitez donc pas. Tu cognes la tonalité à des hauteurs en me boursant, et retombent toutes droites tes velléités de haute baisure. Peut-on dire entre ou /ventre. Le dire en ton lent et tu trouveras toujours mon cul comme un TROU dans le sable de l'allée.
Tes nuits de la cyprière où vos odeurs cèdent à tournoyer, lentement d'abord, pour se liquéfier au plus vite, puis le coeur des coeurs soulevés vous crispe les muscles , les détend. Voilà une gerbe d'oeufont. Ils sont avec toi et tu étends tes bras derrière leurs, l'enrobe, le froid s'élève de la bouche découverte . Encroûtée de restes, séchés, ta bouche essoufflée, son buste est ici, lui parmi ceux, et tu te mets à ses omoplates.
pourquoi n'es-tu pas elle ? elle prostreap-t'en tenaille la vie basse rejetée, offerte.Coquillettes dégueuléjetées----------------GONGGGGGggg... Déraisonné /le cou pta est. Ils te déposent ses mains/ cherche, cherche, allez, cherche des gouttes de résine, de l'arbre au tronc contre mes glaces, colle ta face d' ava gardner ici. Mon trou. Le cyprés rance de parfum entêtonns les nerfs de tes narines. Dilatons tout. Tous les trous quand l'autroeil a assisté. A insisté. Tu attendais la mise en corps dans le conal mon petit canal frais tapissé d'englu. J'étreins quelques fessder X. Tu es l'autre derrière =,mon derrière. Tes souffles des monum'entr'un, les râlant, ta salive allant et cherchant, assistant, attendant le ramollissement, l'ouverture, la permission d'accès. Là, de la terre.Seules tes paupières klanguent ,fourmillement dans la rotule à humidium vit là , et mon odeur , très forte. Se herse la peau. Travail de la surface, la muqueuse, maintenant par tes langues u'mectant ma bouchourbe prise dans l'Impatience de l'Everest à-genoux.Immobile, j' assouplie et tu operds le curetage. Mes seins bout entre tes mains moites. Mon sexe mlorable je n' en veux pas. Le cul, ça, son refus ne revient pas. Ma jambine si saoûle et ématique, qu'dedans est au roulis. Dur et vaillant, tant de plomb dans mes fesses , ton sexe en entier dedans et mes cuisses tardent à la pliure, je ne veux pas te rendre au dehors. La ce et glissante petite chose, j'appelle mon anus : elle. Cela me bouche le coin et me touche beaucoup cette féminisation des organes. Je ne crois pourtant pas aux histoires d' ailes et trébuche comme un re'soupage . Entêtement àveuglaire de celui qui aime les curetages baiseurs.
A ce nyma hampe, d'une aile, pourtant, ensaille la nuqu'roduite. Abdôme scuptural, tu déploies parallèlement les ailessoies, et je te regarde mouillée, toi tenant le profil conquérant, offrant tes branches à des phasmes rougis aux antennes et l'emplissant de ce. Non, cette, sans l'. emplissant cette béance arrière; Devant je te promets, devant sera demain, et je le dis fort et les jours se mettent à bruigencir. Esclat mat, la salive est couleurs indigo rose et puise par les motelets.
Tu muscles de face, fouetté par le premier rapide détrempeur
averti, l'orgueil protégeant ton visage. Le candidat d'hier suivait
la zone à bras. Les bras à peu près. Rut de ses joues,
deux tourtoranes ambiguës comme de la terre mouillée,
toi aussi aujourd'hui,strié d'aphanes risettes bûchant tes réserves
d'air . Tu pries spasmes et faisceauxfflement doux des traces de fumée
de m'abandébonner. Mais tu vois bien, je tiens, immobile d'une fleur
glaucome, l'avenir des iris. Ils mutent ailes déployées,
ce ne sera plus eux, comme avant, quand nous parcourûmes à battre
parterre. Aujourd'hui, plus la même chose, non à l'heure,
à la seconde, les sursautements verlagineux du globe s'enfléchissent
fermés/ouverts, fermés/ouverts, fermés/ouverts. Suce les
larmes coulis que sombrement m'a en ventouse ton ancienne bouche, comme
tu en avais pris l'habitude. Lèvres aphorées d'un trait
clair et net, toujours tu faisais ça pour moi (garce en folie, pensais-je
en moi-même, nul bouc ne viendra t'encaguer!) je te garderai malgré
tout
organ'les mes cécités, pépites et grâces fragmées
de mes yeux, déplace ta bouche ailleurs maintenant : entre les lèvres
du jardin.
Toute la masse s'engloutit, tu m'alimenteuses. ma langue est prise dans tes mains, salie de groseillée gelée Ta boueuse bouche, vieux trilobite, descend vers ma et me trange, m'étouffe et tu t'escuisses. Démenbraison dédiée dans le pareil au même, dans le bouchotage dans l'ocrèse, et qui lui attribut.Innôm leur milieu.Je ne regorette pas la glotte enfilée; ta carapace m'alangue oie anthracite. elle résoud tes suicides projetés et atteint au caractère détouffe, privé de ses émissexes, la revie levant les gaules si totantes entre toutes; la peau pérèphes se rétrac, bat quand parfois plus magistrâle, uni à ses reins àimés, provoque à son tour mon innom-à' venue gicleuse. Le cri oui oui oui restaur ta vie rêvée, remise des projets de mort par les joues désorves. Tenir ainsi, baisant à tire ma rigole, tenant à la manette de la terre dans le largosaim silo. Table de mixage enmiéttée, batteries aux casseroles spermées et celle d'où se séparent les plats.Gloutim les phbées. Tout le con a la tête sol dans le slurp, De l'étincelant bugle, rut pouetpouéet mon anus y est saucissonné à la tranchée; les biceps abandent courent dans l'entier; tombe ainsi le coulis sonorisé au primal accord ,(Isis la note intacte). Une odénone odelette dès le soir se répand. Je vois des phbées aux pieds légers qui s'approchent, minuscules dans la calandre vachour; les avoir éxutole . Écoulement de mes eaux pliées quatre fois dans ta volonté To Nom a dit "ne pas révéler", y rester respecttueuse. La traîtrise a capitulé. Ma nature maintenant s'accorde aux transformations speeds et coureuses. Les filles, entendez ! mon bitteur beau membre, eh bien, dans ses cheveux il y a ma gueule et mon cul sacré et dévouée. Oubliez - le, à moi son et l'amnusie de la tête fourne, si contraire, goutterez demoi toutes frapp´es dans la terre de la plante à des violences grandissantes. Result : good , very good : aucune ne dit que dans la faille je ne suis pas la frappe l'ental-came ainsi, triomphée parmi toutes, je suis seule à tordr' mes dents et mon palais sur ta tige à spirer vite dans le natco perfulsex. Dedans, mal, doulourée, alors ta main au centre, a glissé, après tendrement, sur les moulages si souvent exercé à ton passage. J'ai écris sur ma bave. Tu la boiras en septembre Je le sais, fleurs, tam-tam, chants, trompettes toutes oeneuses, accompagnement pour veillée festive funeste mon choc me revient des ces trois ans de quéquette bourlant notre prochaine éternité et, mais se refermblent. S.C. Ton nom
Une vomiante à voix hautélange tire, la note crystaladine te prén à le dire et répéter dans l'encointrée. S.R.Mon prénom et nom initializés. L'identificateur. Larme ma salive, jette leur courant jusqu'aux malédictions tegrottesques ( excusons la facilité et l'utilisation du double tt, mes tété, melolos). mélodieuse voix accaparée. Liée perchée et stridente à des jeux plus de l'taire.Tu as dit : arachnéenne encore. cela est vrai, réel, cela existe, eux n'ont qu'à chercher mes toiles les notes. Dire ou vomir c'est soulever tous les plexus. Plexi glacés qui jamais ne nient foi de S.C le jour du mocrés. Il fait un enstrue de Dieu qui coïncid trés haut et ailleurs 'ntre tes mains de préparateur et des fleurs vulement maniées vidées vidées de leurs épis jaune pipi L'eau fait greter les rosclefs en ésbulbes tulipopo, à toi de dire nownownow que les écabrachiaux les ont fait la pareille; zak les pistils des sacrés temps. Ici, dit ma chérie suis son petit appareil sur le très sexué prompteménis Rapide rotule, souvenir articulatoire, l'eau dégoûte-alpel et je te réponds l'offre de la glycine belu par tes mains dans mon sexe où loge tout mon âme qu'elles ont anche vêpré les retrouvailles et les écardes centaurées! phbée rexit au toile, éculissée et toute peinte rose peau.
Dessins des mets, sérigraphables d'entendrenie.
Tu uves des hyaciques, tu me voises et m'énerves, prodiant débreaucou.
Tant des feuilles de la forêt, même à la coulure, c'est que
peu d'oreilles couturent ainsi mes souvenirs pornoïdes. Je suis là
uniquement dressée cochonne à l'engrangement, qu'elle dit.