TEXTATROU par boivent005(novembre 2001)

 

Tes genoux  encore inondés d'eaux de vaisselles sont peints  les zébras des feux tricolores alternatifs et les Lanières de cuir  soldées du matin cadencent une oraison torse ta taille  machinalement cambrée comme d'habitude laissant nus  les illusions d'hier et son triste aujourd'hui ceint ton ventre. Tu couvres  vainement les débris épars à voix haute  et contre la décrépitude tu désignes ce lard le buste d'entre les autres tout au-devant de toi. Tu changes  ce qui dans ton passé te dégoute aujourd'hui la boue avec elle  charriée les longs fleuves d'ennui dans la voix  qui se brisait juste au bon moment autrefois autant  c'était le temps des jeux et des chansons idiotes/satrape joues à m'toi dans la bouchourbe. Reprenn'  m'en et m'évant la tonalité à des hauteurs en me boursant, et retombent toutes droites  et drues averse m'en s'enfonce t'on  encore si mou et veut la pluie au /ventre  comme l'air le plus lent  un pas un autre on se baisse un TROU dans le sable de l'allée.

Tes nuits de la cyprine excèdent à tournoyer, lentement d'abord, pour se liquéfier au plus vite, puis le  souvenir et la putréfaction soulevés  te dérouillent les muscles  malgré les malhonnêtetés vélléitaires et les regards méfiants d'oeufont.  malgré toi tu étends tes bras derrière leurs, l'enrobe, le froid s'élève de la bouche découverte  tu l'intubes essoufflée,  agenouillée encore tu te mets à ses omoplates.

Et c'est toujours la même vieille rengaine elle prostreap-t'en tenaille  m'à tournoyé encore et m'éjetées----------------GONGGGGGggg...  s'vait foutre l'camp mais/le cou pta est.  Et c'est alors que te déposent ses mains/  D'elle naît des  sèves inédites le suint de l'arbre au tronc contre mes glaces  m' a bouché des jeux d'avant la fin de parfum entêtonns  pourquoi deux haines s'il voulait passer l'autroeil a assisté.  il a fallu la mise en corps dans le conal  et moi d'autroeil le supplice d'englu. J'étreins quelques fessder X  au cinéma du quartier l'autre derrière  la pallissade et les terrains vagues des monum'entr'un, les râlant, ta salive allant et  glottant Là, de la terre.Seules tes  genoux quand ils le peuvent encore klanguent  et quand l'infirmirmière a passé au matin dans la rotule à humidium vit là  une respiration très forte. Se herse  si peu maintenant m'eut u'mectant ma bouchourbe prise dans l'Improbable de l'Everest à-genoux.Immobile, j'espère et la neuvaine des Lanières operds le curetage quand un bout entre tes dents se perd Mon sexe mlorable je n' y mettrai si elle ne revient pas. Ma jambine si saoûle et ématique, qu'dedans est au  pourri depuis qu' ai pris tant de plomb  farcie des guerres mes cuisses tardent  à crever à leur tour au dehors. La ce et glissante  il faut en finir sans elle  si elle touche  le moyeu y pourrait y fuser des  tire-d'ailes et trébuche comme un re'soupage  de canson àveuglaire  à perdre à laine s'effiloche

A ce nyma hampe, d'une aile,  y croit encore qu'ell va ensaille la nuqu'roduite.Abdôme  évanoui parallèlement les ailessoie,  Celà c'est toi tenant le profil  bas jadis aux antennes et l'emplissant de ce.  Et plus beaucoup de Devant  tôt mortes-eaux les jours se mettent à bruigencir. Esclat mat, la salive est couleurs indigo rose et puise par les motelets. 



 

Tu muscles de face, fouetté par le premier rapide détremp  le masque protégeant ton visage. Le  coup d'hier suivait la zone à bras. Les bras à peu près. Rut de ses joues, deux tourtoranes  moutonnantes comme de la terre mouillée,  soufflaient d'aphanes risettes bûchant tes réserves d'air  s'hument faisceauxfflement doux des traces de fumée de m'abandonnent je tiens, immobile d'une fleur où s'offrent des iris. Ils mutent ailes déployées,  et marchent si nous ne parcourûmes à battre parterre.  rétives les sursautements verlagineux  en dédain s'enfléchissent  dépiteusement/ouverts  et c'est encor'les larmes coulis que sombrement m'a en ventouse  rêvée qu'aphorées d'un trait  fusiainé (garce en folie, pensais-je en moi-même, nul bouc ne viendra t'encaguer!)  aphanante elle m'affoune et donnée elle m'opère- organ'les disgrâces fragmées  oublie une fois veux-tu entre les lèvres du jardin.

Toute la masse s'engloutit, tu m'alimgmentes ma langue est prise dans tes mains  m'arrivangage de port en port gelée  des volées de bois vers sillonne le feu descend vers ma et me trange, m'étouffe et tu t'escuisses  vainement dédiée dans le  petit écho perdu dans le bouchotage  La Lanière jouit dans l'ocrèse, et qui lui attribut.Innôm leur milieu.Je ne regorette pas la glotte enfilée;  Si par mégarde m'alangue oie  que ne résoud  ni atteint au caractère détouffe, privé de ses émissexes  ci-devant levant  et partout si totantes entre toutes;  Mais de plus en plus m'èphes se rétrac, bat quand parfois plus magistrâle, uni à ses reins àimés,  rappelle à son tour mon innom-à' venue  m'y restaur  la remise  et bon accueil par les joues désorves. Tenir  ferme à la manette de la terre dans le largosaim silo  chez celle d'où se séparent les plats.Gloutim les phbées. Tout le con a la tête sol dans le slurp,  gît éet mon anus y est  démis à la tranchée; les biceps abandent courent dans l'entier; tombe  reformée au contre-ut,(Isis la note intacte).  remodèle salgoin Une odénone  à présent dès le soir se répand.Je vois des phbées aux pieds légers qui s'approchent, minuscules dans la calandre vachour; les avoir éxutole  les corolles pliées  réduit dans ta volonté  elles m  'ongent a  semper y  sombra a  s'allir aux transformations speeds et coureuses.  là dans ses cheveux il y a  un monde ventré et l'amnusie de la tête fourne,  comme toutes frapp´es dans la terre de la plante à des violences grandissantes.  Mais si aucune ne dit que dans la faille  ou frappe l'ental-came  une parmi toutes  avouée seule à tordr'  d'une chute spirer vite dans le natco perfulsex.  qu'alors ta main au centre, a  joui sur les moulages  exprès exercé  à poisonner sur ma bave.  Oui Je le sais, fleurs, tam-tam, chants, trompettes toutes oeneuses,  mémoire funeste mon choc me revient  botte bourlant  la bourbe et, mais se refermblent. narphc à oubli docile au soldat.

Une vomiante à voix hautélange tire,  tout gooss' il te prén à le  conchtaire dans l'encointrée.  ravalge Larme ma salive, jette leur courant jusqu'aux malédictions tegrott  sacrong et stridente à des jeux plus de l'taire.Tu  jaunes les toiles les  envois au plexus cavre qui  tournoient  tout le jour du mocrés. Il fait un enstrue de Dieu qui coïncid  ben aise 'ntre tes mains rougsâtres et des fleurs vulement maniées vidées vidées de leurs épis  dégraissés L'eau fait greter les rosclefs en ésbulbes  à pu d'un les écabrachiaux les ont fait la pareille; zak les pistils des sacrés temps. Ici, dit ma chérie suis  crevée sur le très  mémorabamur prompteménis  où l'eau dégoûte-alpel  tu de la glycine belu par tes mains  si belle âme qu'elles ont anche  sans remordement les écardes centaurées! phbée rexit au toile, éculissée et toute peinte rose peau.

Dessins des mets,  s'il n'est vain d'entendrenie. Tu uves des hyaciques, tu me voises et m'énerves, prodiant débreaucou. Tant des feuilles de la forêt, même à la coulure, c'est que peu d'oreilles couturent ainsi  c'est mouruiant de l'engrangement, qu'elle dit.