TEXTATROU par Agnès (Janvier 2001)

Tes genoux  c'est tout sauf un porte manteau /isselles sont peints  je dois donc attacher ma cape aux Lanières de cuir  qui trainent à l'arrière de ton crane, on torse ta taille  de fantôme pourtant laissant nus  mes épaules et mon désir qui ceint ton ventre. Tu couvres  de boue mon élan et ma tient la dragée haute  alors que je sautille pour atteindre le buste d'entre les autres tout au-devant de toi. Tu changes  ma voix sur ton sampler, elle s'efface dans la boue avec elle  toutes les voix  que je prends pour t'invoquer autant  de voix que de formes données /satrape joues à m'toi dans la bouchourbe. Reprenn'ant sur un air de tube à la mode la tonalité à des hauteurs en me boursant, et retombent toutes droites  avec la rigueur des traits du temps passé on  espérait mieux quand on étaient petits que ce /ventre  de toi fantome échappé de la cage des corps, lentement se creuse le fleuve, non c'est un TROU dans le sable de l'allée.

Tes nuits de la cypri  ne jamais ne concèdent à tournoyer, lentement d'abord, pour se liquéfier au plus vite, puis le  précipité se fixe au départs de tes bras soulevés  tu fais croire que ce sont les muscles  qui travaillent, or ce n'est pas un corps d'oeufont.  Tu crois m'impressioner encore quand tu étends tes bras derrière leurs, l'enrobe, le froid s'élève de la bouche découverte  sur ta dentition spectrale, craneuse, bouche essoufflée,  et ces ailes découragées, collées que tu te mets à ses omoplates.

mon dieu, mon dieu elle prostreap-t'en tenaille  la greffe ne prend pas les ailes sont réjetées----------------GONGGGGGggg...  bruit de felin en tombant /le cou pta est.  Un temoin qui veut participer te déposent ses mains/  aussitôt tu les coupes pour ta collection, des séries, des accumulations qui te rassurent, de l'arbre au tronc contre mes glaces  mes lobes droit et gauche qui retiennent des avalanches de larmes. Perdues les pistes de parfum entêtonns  à l'arrêt comme un chien à la battue, l'autroeil a assisté.  Moi pas mort j'attendais encore la mise en corps dans le conal  la où tout s'échappe sous la terre d'englu. J'étreins quelques fessder X histoire de ne pas désespérer, l'autre derrière me surprend avec son zéle, des monum'entr'un, les râlant, ta salive allant et  dans la chaleur de la backroom, j'oublie Là, de la terre.Seules tes os klanguent  s'emboitent, ricochent et percutent dans la rotule à humidium vit là vit ci, vit encore, impulsion très forte. Se herse  pour ouvrir ou pour fermer maintenant  toi le barebaker m' u'mectant ma bouchourbe prise dans l'Image d'épinal du sucker immortel, de l'Everest à-genoux.Immobile, j'ai comme l'impression d'avoir déjà vécu ça,j' operds le curetage, l'exit clignote comme un phare, mon vit bout entre tes canines Mon sexe mlorable je n'ai pas la mesure de ce qui ne revient pas. Ma jambine si saoûle et ématique, qu'dedans est au vu du témoin qui veut participer, tant de plomb  dans l'aile ne laisse pas indifférent, mes cuisses tardent et dardent ce rayon supreme du poete, puis au dehors. La ce et glissante  le témoin m'a suivi dans la neige, sa queue elle n'est pas encore morte, je la prends, touche à travers son jean des  bosses comme ça belles comme des ailes et trébuche comme un re'soupage on disparait dans un félure du mur àveuglaire.

A ce nyma hampe, d'une aile,  ensaille la nuqu'roduite.Abdôme parallèlement les ailessoie, toi tenant le profil  aux antennes et l'emplissant de ce. Devant  les jours se mettent à bruigencir. Esclat mat, la salive est couleurs indigo rose et puise par les motelets. 

[...] inachevé