TEXTATROU par Candice (novembre 2000)

Tes genoux craquants /isselles sont peints  de rouge Lanières de cuir  dont on torse ta taille  ressortent laissant nus  ton nombril et ceint ton ventre. Tu couvres  de ta haute  taille le buste d'entre les autres tout au-devant de toi. Tu changes, boudes et joues dans la boue avec elle  Ta voix  est d'autant  plus joyeuse que tu l'entends dire: "/satrape joues à m'toi dans la bouchourbe. Reprenn' vie dans mon corps". la tonalité à des hauteurs en me boursant, et retombent toutes droites  miraculeusement on  tombe /ventre  à ventre dans une lente spirale qui nous mène jusqu'à un TROU dans le sable de l'allée.

Tes nuits de la cyprine cèdent à tournoyer, lentement d'abord, pour se liquéfier au plus vite, puis le  corps soulevés  par les muscles  vigoureux d'oeufont.  Peu à peu tu étends tes bras derrière leurs, l'enrobe, le froid s'élève de la bouche découverte  de ton ange essoufflée,  et tu te mets à ses omoplates.

D'un coup elle prostreap-t'en tenaille  les bras éjetées----------------GONGGGGGggg...  et hop /le cou pta est.  Puis doucement te déposent ses mains/  telle des  branches de l'arbre au tronc contre mes glaces  feuilles avalées par ombr de parfum entêtonns  où l'autroeil a assisté.  c'est alors que la mise en corps dans le conal  s'embouche d'englu. J'étreins quelques fessder X  par l'autre derrière  et des monum'entr'un, les râlant, ta salive allant et  venanr Là, de la terre. Seules tes  hanches klanguent  et tanguent dans la rotule à humidium vit là  serrant très forte. Se herse  brusquement maintenant  m' hu'mectant ma bouchourbe prise dans l'Immensité de l'Everest à-genoux.Immobile, j'  attends, operds le curetage  salvateur bout entre tes  reins. Mon sexe mlorable je n' en ne revient pas. Ma jambine si saoûle et ématique, qu'dedans est au  niveau de plume tant de plomb  que mes cuisses tardent  et flagellent au dehors. La ce et glissante  déesse elle  ne touche  plus des  bouts des ailes et trébuche comme un re'soupage  dans la boue àveuglaire ment.

A ce nyma hampe, d'une aile, le diable ensaille la nuqu'roduite.Abdôme  déploie parallèlement les ailessoie,  et toi tenant le profil  immortel aux antennes et l'emplissant de ce.  Finalement Devant  la mort les jours se mettent à bruigencir. Esclat mat, la salive est couleurs indigo rose et puise par les motelets. 


 

Tu muscles de face, fouetté par le premier rapide détremp en protégeant ton visage. Le  déclin du soleil d'hier suivait la zone à bras. Les bras à peu près. Rut de ses joues, deux tourtoranes  rouges comme de la terre mouillée,  mirages d'aphanes risettes bûchant tes réserves d'air  aux faisceauxfflement doux des traces de fumée de m'abandonne je tiens, immobile d'une fleur  à l'odeur des iris. Ils mutent ailes déployées,  acculés, nous parcourûmes à battre parterre.  D'un coup les sursautements verlagineux  des ombres s'enfléchissent  bras /ouverts  sur les larmes coulis que sombrement m'a en ventouse  la vieaphorées d'un trait  lumineux (garce en folie, pensais-je en moi-même, nul bouc ne viendra t'encaguer!)  éclaté
organ'les éclatés grâces fragmées  et ce entre les lèvres du jardin.

Toute la masse s'engloutit, tu m'alimentes ma langue est prise dans tes mains  encore gelée  doucement tu descend vers ma et me trange, m'étouffe et tu t'escuisses  en un moment dédiée dans le  tressaillement dans le bouchotage  eet dans l'ocrèse, et qui lui attribut. Innôm leur milieu. Je ne regorette pas la glotte enfilée;  qui m'alangue oie et résoud  mes passions, atteint au caractère détouffe, privé de ses émissexes  au soleillevant  et si totantes entre toutes;  les sphères èphes se rétrac, bat quand parfois plus magistrâle, uni à ses reins àimés,  et à son tour mon innom-à' venue  tripatouille au restaurant remise  des coups par les joues désorves. Tenir  bon à la manette de la terre dans le largosaim silo  d'où celle d'où se séparent les plats.Gloutim les phbées. Tout le con a la tête sol dans le slurp,  mange éet mon anus y est  pour ressortir à la tranchée; les biceps abandent courent dans l'entier; tombe  dans la rue,(Isis la note intacte).  Fiente Une odénone  attendue dès le soir se répand.Je vois des phbées aux pieds légers qui s'approchent, minuscules dans la calandre vachour; les avoir éxutole  oust pliées  crachant dans ta volonté  pour l'honneur m  'encourage a  surchauffer y  ci a  assister aux transformations speeds et coureuses.  Du foie dans ses cheveux il y a  autant del'amnusie de la tête fourne,  étant toutes frapp´es dans la terre de la plante à des violences grandissantes.  et aucune ne dit que dans la faille  première frappe l'ental-came  joie parmi toutes  la seule à tordr'  de rirespirer vite dans le natco perfulsex.  Joint alors ta main au centre, a  calquer sur les moulages  bien exercé  et mouillé sur ma bave.  Fleurs, Je le sais, fleurs, tam-tam, chants, trompettes toutes oeneuses,  sonnant funeste mon choc me revient  serpente tte bourlant  la vieet, mais se refermblent, heureusement.

Une vomiante à voix hautélange tire, tonne te prén à le  nomme dans l'encointrée.  sussurrant Larme ma salive, jette leur courant jusqu'aux malédictions tegrotte et stridente à des jeux plus de l'taire.Tu  étoiles les  beaux plexus  magnifiques qui, bestialement, nient  leur origine er le jour du mocrés. Il fait un enstrue de Dieu qui coïncidide eb' 'ntre tes mains  noueuses et des fleurs vulement maniées vidées vidées de leurs épis  déclinent. L'eau fait greter les rosclefs en ésbulbes  et les écabrachiaux les ont fait la pareille; zak les pistils des sacrés temps. Ici, dit ma chérie suis  mort sur le très  beau prompteménis  où l'eau dégoûte-alpel  l'odeur de la glycine belu par tes mains  noses âme qu'elles ont anche  dans les écardes centaurées! phbée rexit au toile, éculissée et toute peinte rose peau.

Dessins des mets, oreilles d'entendrenie. Tu uves des hyaciques, tu me voises et m'énerves, prodiant débreaucou. Tant des feuilles de la forêt, même à la coulure, c'est que peu d'oreilles couturent ainsi  à l'engrangement, qu'elle dit.