Ces paraphrases sont encore plus pénibles que le procédé qui consisterait à délayer avec une apostrophe au lecteur sur le modèle du «Merde, qu'est-ce que je vais bien pouvoir faire pour finir mon récit, alalalala?», coup tellement éculé et malhonnête que je me vois mal y recourir, j'ai beaucoup trop de respect pour les lecteurs de cette chronique*.

 

 

* «Tu as surtout beaucoup trop d'orgueil pour supporter d'être pris en flagrant délit. D'autant que tu as déjà largement abusé du procédé dans d'autres chroniques.
— Je t'interdis ah mais je mais pas du tout mais ah mais non.
— Et ça s'est vu.
— Arrête ça tout de suite.
— Ça s'est vu.
— Arrête, je te dis.
— T'es un
— Suffit.
— Tu
— ARX
— t
— AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA»

 

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exposition blanquet à Rennes - Périscopages 2005