Entendre pleurnicher un galériste sur le divorce entre le public et l'art est déjà assez étonnant pour qui sait qu'il n'y a jamais eu le moindre contrat de mariage entre ces deux-là ; mais en dehors du fait qu'il faut être un foutu connaud ou un chié menteur pour prétendre travailler à cette union sacrée, il faudrait peut-être, au moins pour satisfaire les quelques zozos authentiquement intéressés par la petite affaire artistique, prendre auprès des Ateliers du Vent ou d'autres gaillards de cette farine des leçons de générosité.

 

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exposition blanquet à Rennes - Périscopages 2005