Entendre pleurnicher un galériste
sur le divorce entre le public et l'art est déjà
assez étonnant pour qui sait qu'il n'y a jamais eu
le moindre contrat de mariage entre ces deux-là ; mais
en dehors du fait qu'il faut être un foutu connaud ou
un chié menteur pour prétendre travailler à
cette union sacrée, il faudrait peut-être, au
moins pour satisfaire les quelques zozos authentiquement intéressés
par la petite affaire artistique, prendre auprès des
Ateliers du Vent ou d'autres gaillards de cette farine
des leçons de générosité.
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