Il est assez difficile de garder à
l'esprit qu'un feu d'artifices joyeux et baroque comme celui-là
et qu'une salle de bain psychorigide de 300 M2
balisée par deux installations asthéniques au
sol* soient deux réalités également recouvertes
par le terme exposition.
*Des noms! Des noms! Me réclame
Catherine, qui ne m'accuse d'être trop vague que pour
m'encourager à dire encore plus de mal, je vois bien.
Mais est-ce bien utile? Il serait beaucoup plus difficile
de trouver des expositions qui dérogent à ce
mode de présentation.
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